Au détour d’un sentier près du chemin de Palama vers le massif de l’étoile, on découvre les ruines d’une belle bâtisse de la fin du 19ème. Jusqu’à de nouvelles informations apparues en 2025 il était difficile de trouver des informations précises sur cette demeure et ses origines…les seuls indices étaient sur sa façade en lambeaux.
Cette bastide construite en 1907 était initialement destinée à des fins d’habitation. En 2018, l’association Une Terre Culturelle a acquis le bien et a décidé de la réorienter pour en faire un établissement recevant du public. Le projet consiste à restaurer cette bâtisse en respectant les normes légales pour y accueillir des jeunes de milieux
Cette demeure de l’ex traverse Vallon de l’Ortignes, actuelle Rue Jean-Baptiste de Valbelle, constitue l’un des plus vastes ensembles de décor mural rocaillé de la région marseillaise et a, fait notable, préservé sa polychromie originelle. Les époux Costa, initiateurs du projet en 1884 firent appel aux Gagliardone, famille de rocailleurs réputés, lesquels auront pour mission
Mitoyenne au château de Cassis, cette habitation du début du 20ème siècle doit son nom à son style, qui rappelle les propriétés coloniales construites en Algérie vers la même époque. Autrefois dépendance du château, elle fût rachetée ainsi que le château par un américain tombé amoureux de Cassis. A sa mort, ses biens passeront de
Cette bastide du XVIIIème siècle accueille aujourd’hui dans une demeure rénovée et un parc de 3 hectares le Centre de Rééducation Professionnelle de La Rouguière. Jusqu’au début du 20ème siècle, La Rouguière se dénommait La Salle du nom du seigneur des lieux au 17ème siècle…un domaine qui en 1119 dépendait directement du monastère de Saint-Victor. Découvrez dans
Sur les hauteurs du Roucas Blanc, au n°8 de la rue Protis se trouve un étrange Château et ses quatre tourelles, entourées de murs à créneaux en pierre. L’intérieur de l’immense propriété révèle des bâtiments qui semblent être du 19ème siècle, une petite tour affiche d’ailleurs un style « rocailleur » très en vogue à cette époque…selon
C’est tout au fond de la rue Albanès que l’on peut découvrir une bastide à l’abandon du 18ème siècle malheureusement en très triste état, comme souvent à Marseille…le Château de la Médaille. Résidence de nombreuses familles marseillaises de renom, ancien refuge pour orphelins de guerre, ex collège technique, aujourd’hui une ruine que l’état tente de
Fin 2024 on apprenait que la Bastide Massenet allait être rénovée et réhabilitée pour accueillir un tiers lieu doté d’un centre de santé, ainsi qu’un espace ressource pour l’accueil des populations vulnérables et précaires, et un jardin thérapeutique et pédagogique. Le projet est porté par le collectif Enchanté, un groupe de médecins et professionnels de
La bastide est située sur les terrains d’un ancien moulin dont les vestiges sont encore visibles à proximité, à l’arrière du château. L’état actuel de la bâtisse est tel que toute réhabilitation ne peut être envisagée. Ce château en ruine nous emmène dans un environnement très paradoxal à la marseillaise, le tout à 10 minutes
C’est par hasard en parcourant une carte OpenStreetMap du quartier de Saint Mauront que la Bastide du Comte de Ballestre est apparue dans la rue du Commissaire (devenue une impasse). Mais le site cerné par une casse auto a perdu ses titres de noblesse ! Cependant rien sur le net ne permet de retrouver l’origine
Le domaine de Tour Sainte, organisé dans sa forme actuelle par Amédée Armand, président de la Chambre de Commerce de Marseille et fondateur des mines de Gardanne, dans la seconde moitié du XIXe siècle, est une œuvre majeure de composition paysagère et un élément de premier ordre du patrimoine bastidaire marseillais. Le lieu accueille de
Chaque jour des milliers de voitures croisaient sur l’A7, au niveau des Aygalades, cette bastide du XVIIème siècle dans une totale indifférence compte tenu pendant des dizaines d’années de son état d’abandon…et pourtant c’est l’une des plus anciennes constructions de la ville et l’une des rares en Provence et à Marseille â être dotée de
Cette bastide du 18ème siècle, appartenant depuis 1945 au mouvement coopératif Castor et ses 360 maisons, deviendra tour à tour un centre social en 1962, des ateliers d’artistes de 1998 jusqu’à 2006, avec le retour d’une exposition éphémère en 2013 pour l’année Capitale Culturelle Européenne. L’association Château de Servières travaille aujourd’hui à la promotion d’artistes jeunes ou confirmés, non pas
Au détour de la Corniche, un promontoire dominant la rade de Marseille et ses îles abrite la superbe villa Valmer et son parc luxuriant. Une bastide édifiée en 1865 par l’architecte Condamin. En octobre 2016 la Ville de Marseille lançait un appel à projets très décrié par l’opposition et des collectifs citoyens pour une mise en
Cette élégante bâtisse de la calanque de Port-Miou, anciennement siège de la carrière Solvay, est depuis 2021 une capitainerie ainsi qu’un lieu d’accueil du Parc national. Comme l’évoque le Parc National des Calanques, tel un château de conte, son origine conserve son mystère. Mentionné en 1810 sur l’acte d’achat du bâtiment par l’État, on ne
Ce très beau parc public surplombe un élégant château à quatre tourelles couleur crème. Les premiers propriétaires du domaine furent Antoine et Joseph Ricard mais pas encore de lien ici avec le Pastis. Le terrain sera ensuite la propriété en 1839 d’Alexandre Brun et d’Augustin Rolland, 8 ans plus tard en 1847. Prosper Victor Maurel fait
Le château de Valmante, alors appelé « de Redon » fut dès 1855 le lieu de résidence de la riche famille Grandval et devint le lieu d’une réunion secrète du PC de l’armée américaine en 1944 avant d’abriter la direction et les bureaux du centre de rééducation de la Sécurité Sociale et de finir dans un projet
Le château de La Buzine est un édifice du xixe siècle qui doit notamment sa célébrité à Marcel Pagnol, qui l’évoqua dans ses “Souvenirs d’enfance”, “l’affreux château, celui de la peur, de la peur de ma mère” avant d’en devenir le propriétaire. En 2001 la Ville de Marseille lance un concours international de restauration remporté
Le château de Marignane, appelé Château des Covet, était l’un des deux châteaux de Marignane, l’autre situé à Papia a disparu. Dans ces couloirs ont arpenté Mirabeau, Madame de Sévigné, ou encore Emilie de Covet. Aujourd’hui Hôtel de ville, la bâtisse puise ses origines au XIème siècle, certainement fortifiée à la fin du XIIe ou au
L’Hôtel de Bausset, aussi connu sous le nom de maison du complot, se remarque par sa particularité architecturale : deux fenêtres sculptées du XVIe siècle. Mais c’est aussi dans ce petit bâtiment de la rue Laget qu’a eu lieu une discussion décisive dans l’histoire de France… C’est dans une des rues principales de la cité
C’est une des plus vastes résidences particulières de Marseille, construite en 1750 par le chevalier Louis-Antoine de Cipières puis en partie démolie et rebâti en 1873 par Joseph Amédée Armand…elle fut occupée jadis par Napoléon Bonaparte et sa famille de septembre 1794 à mai 1797 comme l’évoque une plaque sur sa façade…après 63 ans d’appartenance
Cette Bastide et son domaine retrace depuis plus de 1000 ans l’histoire de Luminy…d’abord terre d’accueil d’une Chapelle, puis d’une Abbaye (selon certaines sources), ce sera ensuite le tour de la propriété de la famille Ollières puis celle de l’armateur marseillais Augustin Félix Fabre avant que le parc ne tombe dans le domaine public en 1945 pour
Ce château Régis édifié de 1860 à 1865 est bel et bien une imitation du château de Chenonceau ! Il tient son nom de Louis Régis, un riche armateur de Marseille à qui le bâtiment était destiné. Il est le fruit du travail des architectes marseillais Sixte Rey et Vaud, le sculpteur Émile Aldebert se
Son architecture impressionne ! En effet, l’ancienne Villa Castellamar fut construite en 1884 pour le Baron Houitte de la Chesnaye dans un style renaissance inspiré du Château de Chambord ! A l’époque de sa création son y trouvait dans le salon d’authentiques tapisseries d’Aubusson du 17ème siècle. Originaire de Bretagne, le Baron fait inscrire sur
L’Hôtel de Ville sur la Place Bargemon fut très tôt associé à un second groupe de bâtiments, en réalité plusieurs maisons rachetées par la municipalité situées au Nord, du côté de l’Hôtel Dieu et du Palais de Justice, l’actuel Pavillon Daviel. Pendant un siècle, plusieurs projets de reconstruction et d’agrandissement de cet arrière-corps se sont
Au 559 avenue du Prado, aujourd’hui devenu le n° 561, cette belle villa de style Empire floquée de ses deux tours a été occupée par Alexandre Dumas (peu d’infos circulent à ce sujet) et le grand photographe Nadar à la fin du 19ème siècle. On prend à tord la maison voisine du 555 pour la
Au 555 avenue du Prado, la Villa Nathan est une bastide particulière. Bâtie en 1856 par le courtier Maurice Nathan (1799-1880) sur une parcelle de 1.315 m². Elle était divisée en appartements de petite dimension pour l’époque, mais richement décorés par deux artistes marseillais (Crapelet et Camoin). Selon le CIQ Saint Giniez Prado Plage « Il
Le Château des Creissauds fut une demeure habitée jusqu’au 19ème siècle et se transforme depuis 2011 grâce à Maison Ferroni en site d’élaboration et de production d’une gamme de spiritueux français haut de gamme associant histoire, patrimoine culturel et richesses naturelles. C’est maintenant le lieu d’élaboration d’un belle gamme de spiritueux : Rhum Ferroni, Gin
Situé au chemin des Bessons, dans le quartier de Sainte-Marthe, dans le 14e arrondissement de Marseille, ce domaine est constitué en 1884 par J.B. Caillol, commandité par Rose Boyer. L’ensemble est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 12 juin 1991. En 1791, la propriété de 7,5 hectares se compose alors d’une pinède,
Abandonnée pendant de nombreuses années la belle bastide a été entièrement rénovée en 2012 afin d’accueillir une école juive. Peu d’informations sont disponibles sur l’histoire de l’Armande qui a donné son nom à ce quartier marseillais. Selon Marsactu « Le terrain est le domaine d’une ancienne bastide, propriété de longues années de la famille De Leusse.
Appelé également Château de Sainte-Marthe ou encore la Bastide Canne, le Château Ricard construit vers 1850 en style Néo-classicisme était l’ancienne demeure de l’homme d’affaires et créateur du célèbre apéritif anisé, Paul Ricard. C’est ici dans le quartier de Sainte Marthe qu’est né l’entrepreneur marseillais le 9 juillet 1909. Le bâtiment était est aujourd’hui propriété
Cette très belle bastide du XIXème siècle accueillait autrefois la famille Silvestre avant d’être vendue à de nouveaux propriétaires ayant fait le choix contesté de vendre une partie du superbe domaine pour la construction de la Résidence des Alpilles et ainsi grignoter sur cette espace classé boisé depuis 1925. Du coup Alpines, Alpilles ? les
Cette maison de villégiature de négociant dite Château Chave, puis Villa Rochebelle ou Villa Marie a vraisemblablement été construite en 1863 pour André Espanet un courtier marseillais. Même si la bâtisse n’est pas spectaculaire malgré sa façade à triple pignon, unique dans ce secteur, c’est surtout son immense parc et ses statues religieuses, sa fontaine de
En 1929, Eugène Pierre, ancien maire de Marseille a acquis et transformé ce très beau château de 1857, floqués de ses deux tourelles, nichés dans la discrète et étroite Traverse Montcault dans le quartier Saint-Barthélemy. La salle de réception était à l’époque richement décorée avec cinq tableaux de Monticelli nommées « Prise de ponte di Magenta« . Ce programme décoratif
Egalement surnommé Château Serena, cette bastide et ses tourelles d’angle fut édifié pour le négociant-huilier Jospeh Rocca entre 1850 et 1871. Il accueillait jusqu’en 2018 l’hôpital pour enfant “Serena”. Cette association a été créée en 1714 par Monseigneur de Belsunce sous le titre « La Maison des filles orphelines » mais ses origines remontent à
Le château de Sainte Anne est une élégante bastide construite au milieu du 18ème siècle au sein d’un domaine de 28 hectares comprenant le château, des dépendances, le parc et des écuries. On l’appelle aujourd’hui la Villa Lucia après s’être dénommée la Villa Luce. A l’époque de la construction de la bastide, le quartier Sainte Anne
C’est entre 1836 et 1853, que les Pastré acquièrent plus de 120 hectares de terres qu’ils aménagent en parc dénommé la Campagne Pastré. Jean Baptiste Pastré fait construire sur son terrain en 1850, lors du partage familial du domaine, une grande bâtisse en brique et et pierre…un château, portant le nom d’un étonnant personnage, qui
C’est sur ce superbe domaine à la charnière des Pennes-Mirabeau, du Rove et de Marseille qu’on retrouve déjà la trace de constructions sur le cadastre de 1819, mais les premiers édifices, détruits depuis, remonteraient au 18ème siècle et au Marquis de Marignane ! Pavillon de chasse, domaine agricole, village de vacances, cet immense ensemble est
Son mobilier, son jardin, ses statues, ses 15 chambres ou encore sa vue sur la rade de Marseille font de cette Villa blanche à l’italienne, l’une des plus belles et plus célèbres “folies” de la Corniche Kennedy à Marseille…propriété de la vedette du music-hall Gaby Deslys elle en fera don à sa mort en 1920 à la ville dans
Construit en 1861, ce château est inspiré des demeures bourgeoises parisiennes et du nord de la France. Il se présente sous deux niveaux et un étage mansardé. Il a été construit au sein du Parc Pastré par l’architecte Colin à la demande de Marie-Amélie Pastré, épouse de Jean Alexis Marie Estrangin qui donnera son nom
Le Château Roux fut construit pour Alexis Roux (1830-1906), un industriel en produit céramique et père du poète Saint-Pol Roux. Cette demeure fut ensuite la propriété de la société générale des Tuileries de Saint-Henri, puis la mairie annexe du 16ème arrondissement après son acquisition en 1952 par la ville de Marseille. Aujourd’hui plusieurs cabinets privés
Ce château aurait été bâti en 1746 par Antoine de Perrache de Pierrerue, un bourgeois jusqu’alors installé rue Pisançon dans le 1er. À sa mort, en 1791, c’est son fils André, négociant à Paris qui héritera de la demeure de 400 m² et son vaste terrain comprenant 4,6 hectares de vignes, et presque autant d’oliviers,
La défaite française et l’occupation allemande ramènent à Marseille la Comtesse Lily Pastré en « zone libre » jusqu’en 1942. Par son père, Lily Pastré était l’arrière-petite-fille d’Anne Rosine Noilly-Prat. Son ex-époux lui laisse alors la jouissance d’une propriété au cœur du domaine Pastré : la Villa Provençale, une magnifique bastide du XVIIIème niché dans
Celle que certains prennent pour une mosquée est en fait une maison privée du 19ème siècle ayant appartenue au Comte de Gissac, président de la Croix Rouge. C’était un ancien pavillon de chasse, autrefois en pleine campagne ! La bâtisse est inspirée du Maroc, pays où le Comte avait longtemps vécu. Une famille dans le
Le 16 février 1841, Jean-Baptiste Leau achète aux enchères cette propriété ayant appartenu à Mathieu Boniface Fombeton, héritier des de Greling. Leau, riche négociant Marseillais qui exerçait dans le domaine de la droguerie y construisit le château de Bonneveine, avant de tomber en faillite en 1846…il restera de son propriétaire le nom donné au Boulevard.
Cette bastide de 1860, construite par Emile Roux, appartenu au marbrier Jules Cantini. Après avoir été la campagne Jacques Meistre sur près de 28 hectares, le château a été racheté par la ville qui y construit en 1946 le lycée Marseilleveyre, imaginé sur un concept très innovant à l’époque. L’artiste peintre marseillais Robert Caulet, le
Dès 1669 le marchand Antoine Simon achète ce terrain aux Lazariste au cœur du quartier de Belsunce. Il y fit construire entre 1670 et 1688 (les dates divergent selon les sources) une première ébauche de ce très bel hôtel particulier avec jardin (aujourd’hui disparu) sous la houlette de Pierre Chevalier de Soisson. Depuis 2018 le lieu,
Le boulevard de la Comtesse est une voie d’environ 1,7 km, située à cheval sur les 12e arrondissement et 13e arrondissement de Marseille. Il fut originellement percé sur la propriété Saint-Pons, appartenant à Françoise Delmas, épouse de Saint-Pons, ou plus exactement à sa fille, la comtesse Eugénie Adelaïde Jaubert de Saint-Pons (1790-1862, épouse de Dominique
Cet édifice est caractéristique des bastides marseillaises du 19ème siècle, mais son intérêt est renforcé du fait de son commanditaire, Désiré Michel, important entrepreneur-cimentier, principal promoteur de l’utilisation du ciment Portland dans le décor des façades, technique qui se répand à Marseille à cette époque. On doit notamment à Désiré Michel en 1860 la façade
C’est en 1921 que Fernande Berger, née Decormis, rencontre l’Abbé Fouque qui vient de fonder l’Hôpital Saint Joseph et qui est en recherche d’une propriété pour soigner les malades tuberculeux. Elle fait alors don de son domaine de 5 hectares, sa chapelle, son grand bassin, son orangeraie et son immense bastide, à l’Hôpital Saint Joseph,
L’Hôtel Roux de Corse est construit vers 1745 pour Jean-André Roux, armateur marseillais. Il devient résidence préfectorale à partir de 1806 (restauration de l’ensemble et nouveau décor). Après l’inauguration de la nouvelle préfecture (1866), l’hôtel est rendu à la ville qui y installe en 1891 le premier lycée de jeunes filles créé à Marseille par
C’est Don Bosco, le fondateur La congrégation des salésiens en 1859 à Turin, qui est à l’origine de la création de l’établissement. En 1883, Lily Pastré fait don de sa propriété à Don Bosco qui l’a rêvée en songe. Aujourd’hui le site accueille l’école, le collège et le lycée Pastré Grande Bastide pour plus de
La nécropole des Vaudrans et le Golf de La Salette ont été construits sur l’ancien domaine de « Vau-Vaudran ». Ce parc de 14 hectares abritait le Château Vaudran créé en 1880 par Mr Jouvin ayant fait fortune dans la construction de bateaux à Marseille. Disparu en 1976 à l’âge de 98 ans seulement, rare sont les
Ce domaine proche de son aspect du 18ème siècle a été construit fin 17ème, début 18e siècle. On l’appelle aussi le Château Foucou, son ancienne appellation. Quelques modifications ont été apporté au 19ème siècle avec notamment l’ajout d’une citerne, un bâtiment rural en 1819 ainsi qu’un jardin de plaisance vers 1850. Cette bastide a été
La bastide de Château-Fallet est la plus ancienne construction du secteur de l’Estaque actuellement conservée, hormis le hameau de la Nerthe. Son histoire est bien connue grâce à l’étude réalisée par Mr Georges Reynaud. La disposition intérieure serait la même que celle de Château Vento à Sainte-Marthe (œuvre détruite), qui serait l’œuvre d’un architecte portugais.
C’est en 1916 que Gabrielle et Charles Servel font don de leur superbe « folie » de la Corniche Kennedy, bâtie au 19ème siècle, à la ville de Marseille afin d’y fonder un orphelinat. Le site a gardé sa vocation solidaire et accueille aujourd’hui L’ADEPAPE, accueillie par l’association La Caravelle. Nous sommes ici face à la réplique
Pénétrer au cœur de ce qui pourrait être l’une des plus belles demeures de la corniche se mérite ! Cet olympe flottant au-dessus de la plage du prophète est notamment accessible à pied par la montée de la Napoule et ses 300 marches abruptes. Acquise par la famille Mullot, propriétaire de 1887 à 1905, la modeste
Cette vieille bastide de la Boiseraie située au n°181 de la rue du Docteur Cauvin ne dévoile que peu d’informations…les résidences ont été édifiées sur le domaine de 1983 à 1985 et elle semble aujourd’hui habitée par des particuliers. En face au 184 se trouve le siège régional des Compagnons du Devoir dans un ancien
Deux lions trônent devant l’entrée de ce château de Falguière construit en 1868 par un négociant en huiles sur le modèle d’un château de Rimini en Italie. La résidence La Roseraie a été construite dans l’enceinte du Parc et les félins semblent être les derniers vestiges d’origine des lieux. Ces 2 statues en pierre de
Cette superbe bâtisse du XIXème siècle, entourée d’un grand parc, abrite discrètement depuis des années la résidence et les bureaux de travail du Gouverneur Militaire de Marseille, officier général de zone de défense et de sécurité Sud…une présence qui avait emmené l’armée à me demander de bien vouloir retirer cette fiche en 2017 pour des
On sait peu de choses sur cette très belle demeure bourgeoise du quartier de Bonneveine, certainement construite à la fin du 19ème siècle. Propriété un temps d’Elie Bass, selon une carte postale ancienne, sous le nom de Villa Violetta, elle porte aujourd’hui le nom de Villa les Tourelles, du fait de ces 2 tours à
Commencée à la fin du XVII ème siècle, la construction de cette belle bastide jaune est reprise en 1713, sur des plans souvent attribués à Pierre Puget, par les frères Magalon, négociants armateurs qui lui donnent leur nom, mais s’en séparent avant même que la bastide ne soit terminée. Elle se situe dans le jardin
Chef-d’œuvre d’architecture du XVIIIe siècle, la bastide Borély est entièrement classée au registre des monuments historique et labellisée « musée de France ». Joseph Borély achète le 26 juin 1684 à Alzéar d’Antoine une propriété de terres, vignes, prés, jardin, arbres et bâtiment au quartier de Bonneveine. Cette même année 1684, son frère François Borély est nommé
Lieu de célébration et de protestation, ancré au cœur du Vieux-Port, l’Hôtel de Ville est un des rares édifices à avoir survécu à la destruction du quartier, sous l’occupation allemande, en 1943. Dès le XIIIe siècle, l’emplacement actuel de l’Hôtel de Ville est occupé par la Maison de Ville qui réunissait les marchands et les consuls
Construite aux alentours de 1881 pour Joseph Antoine Chrisotome Mouttet (né en 1815 au Pennes), négociant, minotier et distillateur fortuné, l’imposante bastide de Maraljehan serait encore aujourd’hui la propriété de la famille Martin. Le nom Maraljehan découle d’ailleurs des prénoms MARie, ALBan et JEAN Martin, descendants nés à la fin du XIX° de J-A-C. Mouttet.
Crée en 1792 le château Saint-Antoine est une grande bastide du 11e arrondissement de Marseille inspirée des palais italiens. La demeure, du noble, évoquée dans “Le Château de ma mère” de Marcel Pagnol est la mémoire de l’héroïque commandant de Robien, l’un des propriétaires en 1907. Propriété de la ville pendant des dizaines d’années, centre d’entraînement
La Bagatelle est la possession de la famille Brignol au XVIIIe siècle. La Villa avec son architecture anglaise du XVIIIe siècle fut construite en 1903 par Henri Neagly. Elle accueille aujourd’hui la mairie des 6e et 8e arrondissements ainsi qu’un parc public et une dizaine de sculptures et œuvres contemporaines. Fils d’un protestant d’origine suisse, Edward Neagly, Henri
La Reynarde est un ancien fief médiéval aménagé en bastide au XVIIIe siècle, avec un beau château principal, une chapelle, des dépendances ainsi qu’un parc paysager. Les derniers aménagements des extérieurs datent de la fin du XIXe siècle. Ancienne résidence refuge pendant la seconde guerre mondiale, puis écrin d’une communauté religieuse durant les années 50-70,
L’ingénieur polytechnicien Paulin Talabot fait construire en 1860 sur 25 hectares de terrains la superbe Bastide du Roucas blanc par l’architecte Louis-Jules Bouchot, ni plus, ni moins le créateur des gares de Nice et Milan, Officier de la Légion d’honneur 1878 ! Mais ce n’est pas un hasard non plus, Talabot étant ni plus, ni
En 1934 Fernandel achète un domaine du XIXe siècle dans le 12ème arrondissement de Marseille, « Les Mille Roses » afin d’y bâtir une demeure résolument moderne pour l’époque. Depuis 2012, plus aucun Fernandel n’habite la propriété suite à la mort du fils, Franck qui séjournait dans une dépendance. Les terrains ont été divisés en
En 1929, deux familles suisses installées à Marseille, les Angst et les Zollinger, établissent la Fondation Helvetia Massilia, rachetant le domaine et la bastide du 17ème siècle des Charmerettes. Ils le transforment alors en foyer pour les vieux Suisses nécessiteux. A l’époque, environ 2000 familles helvétiques habitent la cité phocéenne: négociants, hommes d’affaires, horlogers et
La construction du Château Pastré a été achevée en 1862 d’après les plans de l’architecte parisien Jean-Charles Danjoy sur la commande d’Eugène Pastré (1806-1868) et son épouse Céline de Beaulincourt-Marle. C’est entre 1836 et 1853, que les Pastré acquièrent plus de 120 hectares de terres situées entre La Pointe-Rouge et la Grotte Rolland, au sud de
Ce domaine de 40 hectares en bordure du Parc des Bruyères et du « chemin des Prud’hommes » appartenait en partie avant la révolution française, au prud’homme (pêcheur) de Marseille. Ses revenus devaient entretenir le luminaire de la Chapelle de St Jean de Garguier, près de Gémenos. Une partie de cette propriété est achetée le 24 juillet 1793
Cette demeure du 19ème siècle, accueille depuis 1965 L’École Nationale Supérieure Maritime de Marseille. Le bâtiment central du site marseillais, dit « le château double », est entouré du centre dédié à la formation continue, des locaux pédagogiques destinés à la formation des futurs officiers de la Marine marchande, et des bureaux des services administratif, le tout au milieu d’une pinède
L’aménagement du domaine de Bois-Luzy qui comptait initialement 23 hectares avec pinèdes, vignes, oliviers et arbres fruitiers remonte au XVIIe siècle, avec la famille de Robert de Ruffi, qui était notaire. Pendant 6 générations, il restera dans leur patrimoine familial. Le château, dans sa forme actuelle, fut construit vers 1850 par Monsieur De Saint Alary. Sa