Hommage à Victor Gélu par Oscar Eichacker
Place Victor Gélu, 13002 Marseille
Victor Gelu, est un poète et chansonnier marseillais du début du 19ème siècle. Il donnera son nom à une place près du Vieux-Port, un site entièrement détruit lors de la rafle de Marseille de janvier 1943 et aujourd’hui entouré par les immeubles Pouillon. En 1891 un haut relief lui est déjà consacré sur cette place, fondu pour son bronze pendant la deuxième guerre mondiale. Un nouvel hommage sera réalisé en 1959 par Oscar Eichacker, un bas-relief en bronze d’abord placé au jardin du quai des Belges puis enlevée lors du réaménagement de l’espace pour l’opération « Marseille Capitale Européenne de la Culture » en 2013. Il n’est réinstallé qu’en 2015. Cette plaque indique en provençal et en français « Poète du peuple marseillais. A périr tout entier que servirait il de naître ».
Victor Gélu vit le jour à Marseille le 12 septembre 1806. Ses parents avaient bien eu dix enfants, mais trois seulement survécurent. Son père, Étienne Victor Gelu, boulanger, dirigea successivement deux établissements à Marseille. C’est le grand-père de Victor, Victor Gelu l’aîné, qui avait le premier quitté les montagnes d’Embrun (Hautes-Alpes) et était venu exercer son art de boulanger à Marseille au milieu du xviiie siècle. Victor Gelu avait une admiration sans borne pour son père. Décrit plus tard par son fils, M. Gelu était le modèle des pères et de plus le meilleur et le plus charitable des hommes. Le jeune Victor n’avait par contre pas le même regard sur sa mère, Rosalie Margalet, une couturière originaire de Puyloubier, qu’il considérait comme le type même de la bigote acrimonieuse. Souvent il eut à s’en plaindre dans sa jeunesse et la mort prématurée du père, le 10 juin 1822 (Victor n’avait que seize ans), fut vécue par l’enfant de façon dramatique. Cela contribua à forger son caractère que d’aucuns qualifieront de peu sociable. Sa tristesse et sa mélancolie se retrouvent dans ses œuvres. Les émeutes et les massacres qui ensanglantèrent Marseille du 25 au 28 juin 1815 à la suite de la Restauration et la montée sur le trône de Louis XVIII eurent un fort impact sur le jeune Victor Gelu, spectateur involontaire de scènes terrifiantes, puisqu’il était souvent dans la rue, comme les enfants de son âge. Après les événements de Marseille, Victor commença des études classiques chez l’abbé Chabert, un homme réputé dur. Après une punition cruelle et injuste, il fut ramené chez lui, puis partit chez les Frères-Gris d’Aix. Lentement de profonds sentiments d’antipathie pour le clergé et la monarchie dans son ensemble se développaient chez lui, le poussant vers les patriotes républicains ou bonapartistes. Lors d’une altercation avec son professeur, le frère Jérôme, Victor manqua de l’assommer en lui lançant à la tête un lourd encrier de plomb. Puis il prit la fuite et retourna vers son père, le suppliant de le garder avec lui. Lorsque Étienne Victor, le bon boulanger, mourut, le jeune Victor en éprouva un chagrin sans fond. Il lui consacra plusieurs poèmes à la lecture émouvantes.
Tout alla de mal en pis dès lors. La boulangerie familiale périclita (le présumé vilain caractère de sa mère y était peut-être pour quelque chose) et l’héritage avait fondu comme neige au soleil, en raison des dons irréfléchis de Rosalie à sa paroisse.

L’ancienne statue de 1891 représentant le poète, elle sera fondue pendant la 2ème guerre mondiale pour son bronze
Pour fuir l’atmosphère familiale lourde, Victor Gelu fréquentait quelques jeunes hommes avec lesquels il jouait le répertoire du théâtre français dans une cave. Il avait d’autres amis parmi de vieux soldats de l’Empire qui se baptisaient eux-mêmes les « Endormis ». En 1827, à sa majorité, Gelu, qui avait repris à son père le métier de boulanger, toucha une petite somme s’argent qui lui permit de se mettre à son compte et, ainsi, de s’affranchir de l’autorité de sa mère. Las ! Ses projets échouèrent et Gelu partit pour Bordeaux, puis Paris, où il épuisa ses dernières économies en quête d’une place correcte. Il revint honteux à Marseille et sa mère lui donna pour solde de tout héritage un pécule de quelques centaines de francs. Victor profita de l’aubaine pour partir à Antibes où il monta sur les planches : le premier rôle d’une pièce avait fugué et Gelu fut recruté pour le suppléer. Ce fut un véritable triomphe. Sa carrière semblait lancée. Malheureusement, le milieu du théâtre l’irritait particulièrement, lui, l’homme austère, en quête de perfection morale. Il partit donc à Toulon, à la recherche d’un place de commis aux vivres à bord d’un des vaisseaux de guerre de l’expédition d’Alger. Il ne parvint pas à s’adapter à ce milieu non plus et rentra une fois de plus à Marseille, chez sa mère. Celle-ci, embarrassée par le retour de son fils, lui confia son jeune frère Noël et envoya les deux jeunes hommes à Lyon dans une fabrique de pâtes alimentaires. Avec le Gouvernement de Juillet arriva la crise économique et Victor se retrouva bientôt sans emploi.
Lors de l’insurrection de 1831, il fut même grièvement blessé. Alors se présenta ce qui aurait pu être une occasion inespérée dans la vie du jeune homme, qui n’avait que vingt-cinq ans : un avoué qui rêvait de la députation avait promis à Victor une place de secrétaire lorsqu’il serait lui-même à la Chambre, à Paris. Le jeune Gelu dut vite déchanter car son avoué s’était inopinément marié et avait du coup changé tous ses projets.

La place avant sa destruction, à droite la statue dédiée à Victor Gelu
1835 : Noël Gelu, le cadet de la famille, s’était marié et vivait tant bien que mal d’une place de minotier à Aubagne. Faute d’emploi, Victor vint quelque temps habiter chez eux. Mais Victor Gelu ne s’entendait pas du tout avec sa belle-sœur. Lassé de cette vie difficile, Victor tenta alors de se donner la mort. Son frère Noël l’en empêcha fort heureusement ». Plus tard, les deux hommes se séparaient et Victor revint à Marseille où il loua une maison à la Plaine pour 70 francs. Il trouva une place de clerc, à 30, puis 60 et enfin 90 francs par mois. Il avait enfin trouvé, comme il le disait lui-même, « la fortune ». L’esprit libéré des contingences matérielles, le poète commença enfin à créer. En 1838, « Fenian et Grouman », sa première œuvre, obtint un succès colossal. En 1840, grâce à ses anciens amis des Endormis, il fit paraître un recueil de dix chansons marseillaises et de quinze autres en français. Invité en 1852 au congrès des félibres, à Arles, il parvint à conquérir une foule d’admirateurs par sa carrure d’athlète et sa voix de cuivre.
Roumanille lui dira même en cette occasion : « Mon Dieu, Monsieur, vous devez nous trouver tout petits ». Pourtant, Gelu refusera de s’intégrer aux félibres, préférant se tenir à l’écart des groupements, afin de mieux préserver l’indépendance d’esprit qui le caractérisait.
Ses sentiments républicains furent la source de bien des tracas. Ses ennemis politiques s’acharnaient à s’opposer à la publication de nouvelles œuvres. Lors de la seconde édition de ses Œuvres, de nombreux passages furent ni plus ni moins coupés, remplacés par des lignes de pointillés et la plupart des ouvrages achetés par ses opposants soucieux de les mettre aussitôt au pilon. Après les quelques années passées à la minoterie de Roquevaire, Gelu revint à Saint-Barnabé, près de Marseille. Retrouvant l’apaisement après la mort de sa fille, il écrit en novembre 1854 une de ses œuvres majeures, Lou Credo de Cassian. Sa femme mourut, cette chère épouse que Gelu aimait plus que tout. On était alors à la fin de l’Empire. Fatigué, Victor Gelu eut dès lors une production irrégulière. Dans le même temps, soucieux de fuir toute forme d’honneur, il refusa en 1878 de faire partie de l’Académie de Marseille, malgré le soutien flatteur de la majorité des délégués.

Destruction du quartier du Vieux-Port en 1943
Peu de temps après, la municipalité de la ville de Marseille lui refusa un poste de professeur de diction au Conservatoire. Le 2 avril 1885, Victor Gelu s’éteignait, au 44, rue du Jardin-des-Plantes, chez son fils, peintre et architecte. Son éloge funèbre fut particulièrement sobre. Un délégué des Endormis prononça un discours. Les félibres publièrent un recueil complet de ses œuvres (moins les Mémoires) et, en 1891, on lui érigea un monument sur l’ex-place Neuve, rebaptisée place Victor-Gelu, en plein sur le Vieux-Port. Celui qu’un critique parisien avait nommé « le grand et terrible poète » laisse l’image d’un homme aux dons poétiques hors normes. On comparait parfois Gelu à François Villon. La comparaison, pourtant, ne tient pas. Si Gelu puisait l’essentiel de son inspiration dans les vices de la basse société marseillaise, il se comportait constamment comme un moraliste austère, attaché à corriger les défauts des autres, ce qui, on le comprend, lui valut des amis bien rares.
Paul Masson disait de lui : « Sa vie fut un long tourment, bien qu’il eût l’âme d’un sage antique et une culture intellectuelle suffisante pour mépriser les misères quotidiennes de l’existence : aussi ne faut-il pas être surpris que ses poèmes laissent au lecteur une impression de sombre tristesse. Il avait assez souffert lui-même pour comprendre les douleurs des miséreux et des révoltés (…). Mais il n’était nullement des leurs… »
Son influence sur les poètes et écrivains qui lui ont succédé est considérable. On compte parmi eux Jòrgi Reboul. Il a inspiré les poètes du groupe Les Cahiers de Garlaban qui lui ont rendu hommage. Marcel Pagnol le cite dans la célèbre scène de la « partie de cartes » de sa trilogie marseillaise, au cours de laquelle César dit à Panisse : « Tu es beau. Tu ressembles à la statue de Victor Gelu. ». Un haut-relief en bronze représentant le poète derrière une table qui lui sert de tribune, le bras droit tendu, en train de déclamer un de ses poèmes est érigé en 1891 Place Neuve, rebaptisée Place Victor Gelu. Ce haut-relief réalisé par Stanislas Clastrier ayant été fondu pendant la deuxième guerre mondiale pour la récupération du bronze, un bas-relief également en bronze réalisé en 1959 par Oscar Eichacker représentant Victor Gelu de profil sera placé au quai des Belges puis enlevée lors du réaménagement du quai pour l’opération « Marseille capitale européenne de la culture » en 2013. Il est réinstallé en 2015 à l’angle de la place qui porte son nom, au croisement de la rue Bonneterie, dans le 2e arrondissement de Marseille.
Oscar Eichacker, né à Avignon le 21 janvier 1881 et mort à Marseille 23 juin 1961, est d’abord élève à l’école des beaux-arts de Marseille, puis obtient une bourse suivre les cours à l’école des Beaux-Arts de Paris où il est l’élève d’Antoine Sartorio. Il débute en 1913 à l’exposition de l’Association des Artistes Marseillais. Après la guerre il participe en 1919 à une exposition d’art moderne à la galerie marseillaise Nadar-Detaille. En 1921 il travaille comme ornemantiste à l’escalier monumental de la gare de Marseille-Saint-Charles avec les sculpteurs Auguste Carli et Louis Botinelly.
En 1932, en collaboration avec l’architecte Gaston Castel, il sculpte le monument à Jean Jaurès à Istres. Son militantisme au sein du front populaire entraîné une baisse d’activité durant une dizaine d’années. Après la guerre il sculpte des bustes notamment.
- Statue de David par Jules Cantini, 1903 et le maillot de l’OM
- Avenue du Prado, 13008 Marseille
- Serpico of Marseille, 2025 par Poasson
- Rue des Mauvestis, 13002 Marseille
- Les Gravures du Garlaban, Louis Douard
- Garlaban, 13400 Aubagne
- Les Bancs Rouges, hommage aux victimes de féminicides, 2023
- Parc de la Cômerie, 13006 Marseille
- Unis vers elle par Isabelle Rouquette, 2003, Lycée Saint-Henri
- 37 Chemin de Bernex, 13016 Marseille
- Statue (oubliée) de l’Archange Michel, Notre-Dame de la Garde
- Montée de l'Oratoire, 13006 Marseille
- Plaque Hommage aux victimes du 22 août 1944
- Place Castellane, 13006 Marseille
- Grande fresque de la gare de Lyon de Jean-Baptiste Olive, 1900
- Visible à la Gare de Lyon, Paris
- L’Entrée du port de Marseille, 1754, par Joseph Vernet
- Visible au musée national de la Marine à Paris
- Le Débarquement de la reine à Marseille, le 3 novembre 1600, par Pierre Paul Rubens
- Visible au Musée du Louvre, Paris
- Le Fabuleux Train de l’Alhambra Palace par Céleste Gangolphe, 2025
- Rue du Cinéma, 13016 Marseille
- La grande croix de la Route de la Gineste
- Route de la Gineste, 13009 Marseille
- Place Castellane et la Fontaine Jules Cantini par Allar, 1913
- Place Castellane, 13006 Marseille
- Domicile et buste du poète Elzéard Rougier par Maurice Mangepan
- 53 rue Franklin Roosevelt, 13001 Marseille
- Colonne du Génie de l’Immortalité ou de la Peste par Chardigny, 1802
- Rue de la Bibliothèque, 13001 Marseille
- Stèle hommage aux naufragés du Lamoricière, 1942
- Cimetière Saint-Pierre, 13005 Marseille
- Scène de la nativité côté Guadeloupe, Jésus côté Martinique
- Angle rue de la Martinique, rue de la Guadeloupe, 13006 Marseille
- Monument commémoratif au roi Alexandre Ier de Yougoslavie et à Louis Barthou, 1938
- 2 Bd Paul Peytral, 13006 Marseille
- Le bateau sans pétrole, fresque murale collective, 2022, MauMa
- 10-12 impasse du Pétrole, 13015 Marseille
- 44 Rue Terrusse Marseille, Plaque hommage à Jean Guillot du Hamel
- 44 rue Terrusse, 13005 Marseille
- 46 Rue Terrusse, Plaque hommage au résistant Pierre Mouren
- 46 rue Terrusse, 13005 Marseille
- Plaque hommage à Gilberto Bosques, le « Schindler mexicain »
- 7 Square Stalingrad, 13001 Marseille
- Le Banc Marseille Mosaïque Viv’arthe, 2016
- Corniche Kennedy, 13007 Marseille
- A la Bonne Fama, la femme sans tête ?
- 2 Rue Guidicelli, 13007 Marseille
- Obélisque de Mazargues, la copie de Paris, 1811
- Rond-Point de Mazargues, 13009 Marseille
- Stèle en hommage aux victimes du terrorisme et l’attentat de la gare Saint-Charles, 2017
- Parvis de la Gare Saint Charles, 13001 Marseille
- A Woman Voice Is Revolution, 2022, Ghada Amer, Mucem
- Fort Saint Jean, 13002 Marseille
- Fresque murale le Bar du Tramway par A-Fresco, 2013
- Place Caire, 13012 Marseille
- Les asiatiques par STeW, 2016
- 30 rue St Michel, 13006 Marseille
- Statue d’Antoine-Fortuné Marion par Constant Roux
- Parc Longchamp, 13004 Marseille
- Ours Jayet 2020, Janus Marseille, le plus grand ours biface du monde
- Esplanade Gisèle Halimi, 13002 Marseille
- Le Mur de Zidane 1998, Unframed par JR 2013 & Mahn Kloix 2024
- Place Paul Ricard, 13007 Marseille
- Statue de Saint Eloi, Protecteur de l’Orfèvrerie Gaudin
- 1 Rue François Davso, 13001 Marseille
- Mémorial de la Déportation & Rafle de Marseille de 1943
- Place 23 Janvier 1943, 13002 Marseille
- Fresque du Parking des Fabriques par Adrien Ladmiral, 2024
- Rue André Allar, 13015 Marseille
- Tunnel National, Ex-Voto 2013, Marseille Saint Charles à 360 en 2024
- Tunnel National, 13001 Marseille
- Fresque Hall of Fame de Braga Last One du Bd Gay Lussac, 2024
- 9 Bd Gay Lussac, 13014 Marseille
- Plaque hommage à Jean Zay du Moulin du Fort Saint Nicolas
- Fort Saint Nicolas, 13007 Marseille
- Le Moulin à Vent, Monument aux Morts du Fort St Nicolas
- Fort St Nicolas, 13007 Marseille
- Statue de Missak Manouchian, Résistant et Poète par Bernard Brandi, 1984
- Boulevard Charles Livon, 13007 Marseille
- Cerf/Frec de Luc Dubost, 2013
- 34 Boulevard Charles Livon, 13007 Marseille
- Le Mur de Zidane de la Castellane, 2022, retour aux sources
- La Castellane, 13016 Marseille
- Valentin Rongier, dernier mousquetaire par Franck Conte, 2023
- 66 Rue du Progrès, 13005 Marseille
- Le Banc La Paupière par Ora-ïto, 2024
- Place Castellane, 13006 Marseille
- Le cadran solaire du 1 place aux Huiles, 1809
- 1 Place aux Huiles, 13001 Marseille
- Fuite en Egypte de la Sainte Famille, 2021
- 20 rue Fauchier, 13002 Marseille
- La Méditerranée par Louis Botinelly, 1939
- Parc Borely, Roseraie, 13008 Marseille
- Le cadran solaire de la rue Terrusse
- 117 rue Terrusse, 13005 Marseille
- Plaque hommage à Jean-François Leca, militant et élu
- 1 Rue Jean-François Leca, 13002 Marseille
- Le Dimitri « Maestro » Payet de Franck Conte, 2019
- Rue Capitaine Galinat 13005 Marseille
- Fresques de la Gare Saint Antoine par Nyoto & Braga Last One, 2021
- Avenue de Roquefavour, 13015 Marseille
- Le Phare, le message de Pone, par Brognon Rollin, Mucem, 2024
- Tour du Fanal, Fort Saint Jean, 13002 Marseille
- Les Escaliers du Cours Julien, toile à ciel ouvert
- Rue Estelle, 13006 Marseille
- Plaque hommage au docteur Mendel Schachter
- 40 rue Sainte 13001 Marseille
- Monument à Capazza & Fondere par Castel & Botinelly, 1930
- Rue Curiol, 13001 Marseille
- Fresque du plan d’Aou par La Morena et Difuz, 2021
- Résidence Erilia Les Goélands, Plan d'Aou, 13015 Marseillle
- Fresque « Au grès des vagues » par 3ttman, 2020
- Avenue de la Croix Rouge, 13013 Marseille
- Le Bar Pierre et la finale de Bari de 1991 OM – Étoile Rouge
- 55 rue de Forbin, 13002 Marseille
- La Crypte militaire de Gaston Gastel, 1920
- Cimetière Saint Pierre, 13005 Marseille
- Statue le Dresseur d’Ourson par Louis Botinelly
- Esplanade de la tourette, 13002 Marseille
- La Façade Nord des Docks Village, 30 709 lettres !
- Rue des Docks, 13002 Marseille
- Street-Art du Métro M2 Notre-Dame-du-Mont / Cours Julien
- Cours Julien, 13006 Marseille
- Putain Khong ! de Batch, 2015
- Rue Four du Chapitre, 13002 Marseille
- Seconde Nature 2010 par Charles Bové et 2020 par IPIN
- Place d'Arvieux, 13002 Marseille
- Hommage à Pagnol par ShamSham
- 4 rue Saint Antoine, 13002 Marseille
- Vierge à l’enfant de style florentin du 18 Bd Longchamp
- 18 Boulevard Longchamp 13001 Marseille
- La vitrine lumineuse vers le portail de la chapelle du Fort Saint Jean
- Place Commandant Bergoin, 13002 Marseille
- Monument à Pierre Puget par Henri Lombard, partie 1/3
- Cours Pierre Puget, 13006 Marseille
- Le Bœuf sur le toit du collège Darius Milhaud par l’Atelier Corduant, 2007
- 36 Boulevard Louis Armand, 13012 Marseille
- Les Arlésiennes par OCM Vibration & Gütan, 2020
- Rue de Lorette, 13002 Marseille
- Le Snoop Dogg de la rue Levat par OCM Vibration, 2019
- 33 rue Levat, 13003 Marseille
- Le Baiser de Ruce, 2018, « Défense de Afficher »
- Rue de Lorette, 13002 Marseille
- Plaque hommage à la famille Bénaros, déportée à Auschwitz
- 16 rue du Pont, 13400 Aubagne
- Statue de Calendal par Auguste Cornu, 1930 & 2000
- Promenade Aristide Briand, 13260 Cassis
- Hommage au Lieutenant Pelissier, 1999, Niolon
- Chemin des poseurs, 13740 le Rove
- Le Château d’If d’OCM Vibration, 2022
- Plateau de Malmousque, 13007 Marseille
- Hommage du Métro à Pierre-Marie Baille, 1992
- 142 Boulevard Baille, 13005 Marseille
- Plaque hommage au poète et écrivain André Suarès 1868-1948
- Montée Notre-Dame, 13006 Marseille
- Fresque de l’Histoire de l’OM par Noyps, Veter et Daze, 2013
- 50 Traverse des Caillols, 13011 Marseille
- Fresque de la Maison du Cheval, Saint-Eloi et Antoine Rouffio
- Place Saint Christophe, 13011 Marseille
- Colonne Puget par Jean Joseph Foucou, 1816
- Jardin Puget, 13007 Marseille
- «Littéral» sur la Digue du Large, sculptures de sel par Mathieu Lorry Dupuy, 2023
- Digue du large, 13002 Marseille
- Sans toi la maison est chauve : art minimal brut, 1991, par Erik Dietman
- Avenue de Hambourg, 13008 Marseille
- Plaque Eiffel par César, 1989, Parc Central de Bonneveine
- Avenue de Hambourg, 13008 Marseille
- Statue de Louis Braille, 1952
- Parc Puget, 13007 Marseille
- Modèle en plâtre de la Statue de David par Jules Cantini, 1903
- Place Auguste et François Carli, 13001 Marseille
- Breton dixit, Acteon fecit, 1985, Jean-Michel Alberola
- Avenue de Hambourg, 13008 Marseille
- The woman of a thousand faces par Zurik, MauMa, 2023
- 75 rue Edmond Jaloux 13014 Marseille
- Cubes, 2006 par Fabrice Gygi
- Avenue de Hambourg, 13008 Marseille
- Statue de Milon de Crotone, la copie de Pierre Puget
- Cours d'Estienne d'Orves, 13001 Marseille
- L’Enlèvement d’Europe par George Merheb, 2013
- Place Bonnefon, 13008 Marseille
- Monument aux Morts de Montolivet
- Avenue de Montolivet, 13012 Marseille
- Les Sept Portes de Jérusalem par David Soussana, 1985
- Parc Balnéaire du Prado, 13008 Marseille
- Don Quichotte et Sancho par Rachid Khimoune, 1986
- Groupe la Visitation, 13014 Marseille
- Monument aux Piémontais de Provence par Riccardo Ughetti, 2009
- Parc Bortoli,13008 Marseille
- Monument pour Guy Saint Jean, 2012
- Parc de la Moline, 13012 Marseille
- Skateboarding is not a Crime, Friche Belle de Mai
- 41 rue Jobin, 13003 Marseille
- Le Rocher de Marbre Blanc par Daniel Pontoreau, 2013
- 83 Rue Longue des Capucins, 13001 Marseille
- Monument à l’Abbé Dassy, 1892, par Alexandre Falguière
- Jardin Puget, 13007 Marseille
- La Lanterne en Vitrail par Jean Vérame, 2007
- Chemin de l'Argile, 13010 Marseille