Cinéma le Noailles et la Caserne de Marins-Pompiers de la Canebière
39 Rue Vincent Scotto, 13001 Marseille
Le bataillon de marins-pompiers (BMP) de Marseille a été créé par décret-loi du 29 juillet 1939, à la suite de l’incendie des Nouvelles Galeries le 28 octobre 1938, un terrible sinistre qui aura causé la mort de 73 personnes. Si l’état major du BMP se situe depuis 1940 dans la Caserne de Strasbourg, une unité, la plus petite de la ville, trône avec ses véhicules rouges depuis 2003 comme un symbole à côté des lieux même de l’incendie qui aura été à l’origine de la création de ce bataillon militaire, une unité de la Marine nationale française. Il a été installé dans l’ancien cinéma Le Noailles, désamianté et détruit en 2000. Le Noailles déjà en activité dans les années 30 était scindé en trois salles en 1976 et attirait une importante clientèle grâce à la programmation de films pornographiques. Certaines semaines, les films projetés au Noailles étaient en tête des entrées hebdomadaires, devant les films traditionnels ! De nos jours 70 marins-pompiers sont affectés dans l’ex cinéma sur la Canebière et 18 hommes restent toujours à la garde. Avec une moyenne de 31 interventions par jour, la caserne compte le plus grand nombre de sorties du bataillon.

Le Cinéma les Variétés, le Cinéma le Noailles (l’actuelle Caserne) et les Nouvelles Galeries (l’actuel Building Canebière)
Le 28 octobre 1938, l’incendie des Nouvelles Galeries situé face à l’Hôtel de Noailles où se déroulait le congrès radical en présence du Président de la Chambre des députés, Edouard Herriot, met en évidence l’incurie des services urbains des hôpitaux aux pompiers. Au total, 73 victimes qui vaudront à la ville une nouvelle mise sous tutelle en 1939, laquelle ne sera levée qu’à la Libération. Les sapeurs pompiers municipaux sont rapidement dépassés par l’ampleur de l’incendie. Leur chef, le commandant Fredenucci, n’est pas présent car il a été blessé quelques jours plus tôt lors d’un autre incendie. C’est donc son adjoint, le capitaine Durbec qui dirige les secours mais il est blessé au début de l’intervention. Privés de chef, les « soldats du feu » marseillais sont désorganisés et souffrent de la vétusté de leur matériel. De plus, un employé d’une société des eaux suppose une fuite sur une canalisation à cause de la diminution de débit dans celle-ci due à l’action des nombreuses lances des pompiers et décide donc de couper l’alimentation de la conduite, privant d’eau les Soldats du feu. L’incendie dramatique des Nouvelles Galeries, situées dans l’immeuble mitoyen des cinémas Le Noailles (où se trouve la caserne aujourd’hui) et Les Variétés, perturbent l’activité des deux salles comme le relate La Cinématographie française: « Vendredi dernier à 2h30, les Nouvelles Galeries commençaient à flamber, et à 3 heures, la police évacuait tous les cinémas, magasins, hôtels, restaurants et cafés-bars avoisinants.

L’incendie de 1938
On avait déjà évacué les salles Noailles et Variétés , où il n’y eut point de panique ou de désordre. Le cinéma Variétés n’a pas été touché sauf par la fumée et la poussière : mais la salle Noailles est inondée d’eau (…) ces deux salles devront demeurer assez longtemps fermées car leur appareillage électrique a été complètement détruit, leur cabine avariée, leurs fauteuils abîmés. On envisage pour le Noailles une fermeture de trois mois et pour les Variétés d’un mois minimum ».
Face à l’ampleur de l’incendie, le Contre-amiral Muselier, commandant la Marine nationale à Marseille, dont les locaux se situent à proximité des Nouvelles Galeries, demande des renforts à l’amiral Mottet, major général de l’arsenal de Toulon.
Édouard Daladier, président du Conseil, remarque le professionnalisme des marins pompiers toulonnais et la qualité de leur matériel, ce qui le décidera à confier la sécurité de Marseille à une unité militaire de marins pompiers.

Nouvelles Galeries avant l’incendie
Le décret-loi du 23 juillet 1939 constitue l’acte de naissance du bataillon de marins-pompiers de Marseille et commence par ceci :
« Il est créé à Marseille une unité de marins-pompiers. Ce bataillon et les services qui lui sont rattachés sont commandés par un officier supérieur de la Marine… »
C’est dans le courant du mois d’août 1939 qu’un groupe de 15 marins-pompiers de Toulon arrive à Marseille, en gare Saint Charles. C’est le premier élément de la nouvelle unité qui se constitue sous les ordres du capitaine de frégate Orlandini.
Le capitaine de frégate Orlandini est ainsi le premier commandant du Bataillon de marins pompiers. Il est secondé par l’officier principal des équipages Louis Godard qui commandait le détachement des 32 marins-pompiers de Toulon, qui était intervenu lors de l’incendie des Nouvelles galeries.
Devant la nécessité, dans un premier temps, de trouver un local pour loger les marins-pompiers, le contre amiral Muselier, commandant la Marine nationale à Marseille, réquisitionne une usine désaffectée, rue de Lyon puisque la caserne de Strasbourg est toujours occupée par les sapeurs pompiers municipaux.
Cette usine devient la « caserne de Lyon » et accueille les premiers détachements de marins-pompiers avec leur nouveau matériel et provisoirement l’état-major de l’unité.
Dès son arrivée à Marseille, le commandant se rend bien compte qu’il ne peut se substituer instantanément aux sapeurs pompiers municipaux car ses effectifs en hommes et matériels sont encore trop faibles et, surtout, l’état-major se trouve dans l’ignorance totale de la structure de la ville pour les aspects topographie, ressource en eau, risques potentiels… Il est hors de question de faire intervenir des hommes encore mal préparés, dans une ville inconnue. Dans ce contexte, il conserve, en la maintenant dans sa mission, la 3e compagnie des sapeurs-pompiers. Les marins-pompiers prennent peu à peu la place des sapeurs pompiers, au fur à mesure de l’implantation de l’infrastructure nécessaire au nouveau bataillon.
Ainsi, le 1er octobre 1939, avec la mise en service de la caserne provisoire de Lyon et de la caserne de Louvain, les marins-pompiers prennent en charge les secteurs nord et sud de la ville et en mai 1940, avec l’ouverture de la caserne Saint-Pierre, le secteur est. Le 1er juin 1940, un bombardement allemand cause la mort de 32 marseillais et en blesse aussi une soixantaine, le jour même où le « bataillon » prend possession de la caserne du boulevard de Strasbourg où il installe son état-major.
Enfin, en juillet 1940, la compagnie du port cède sa place aux marins-pompiers.
Seconde Guerre mondiale

Caserne de la Canebière
Le bataillon de marins-pompiers est cité à l’ordre de l’Armée : « Unité qui dès sa création en 1939 est confrontée au second conflit mondial, tout au long duquel elle mène de front ses missions de protection civile et une importante activité de résistance. Lors de la libération de Marseille, le bataillon éteint de nombreux sinistres, sauve et soigne des centaines de victimes. Prenant part à l’action militaire, il compte de nombreuses pertes dans ses rangs. » De nombreux marins-pompiers s’engagent dans la Résistance et jouent un rôle important dans la lutte contre l’occupant. Leur mission de vérifier et d’assurer la sécurité des installations techniques, industrielles et portuaires leur permet d’avoir accès à de nombreux sites normalement interdits. Aussi peuvent-ils communiquer aux Alliés des renseignements précieux. Ils effectuent aussi des sabotages pour désorganiser les troupes ennemies. Certains rejoignent l’organisation de résistance de l’Armée (ORA) et les maquis, tel celui du Pilon du roi.
Les marins-pompiers prennent une part active aux combats de la libération de Marseille et font tout pour protéger les installations portuaires et leur matériel d’intervention, dont le bateau pompe « l’Alerte », miraculeusement épargné. Après la libération, Marseille se voit décorée de la Croix de guerre avec palme en 1950 et citée à l’ordre de l’Armée pour la « vaillance de sa résistance ».
L’après-guerre
Dès sa création, le service incendie lui est confié en totalité, associé à la commande d’un important matériel moderne, à l’établissement d’un programme de casernes et postes et l’amélioration du réseau des bouches d’incendie :
> en 1962, le BMP se voit confier la défense incendie de l’aéroport de Marseille-Marignane;
> en 1969, il prend en charge le secours à personnes ;
> en 1972, il assure la sécurité de la partie ouest du port autonome de Marseille, Fos, Lavéra et Port de Bouc ;
> en 1976 et 1980, lui sont confiées les missions de sécurité et prévention des hôpitaux de la Timone (1976) et Nord (1980) ;
> en 1978, il assure les secours et sauvetage en mer pour le compte de la SNSM d’abord avec la vedette Bonne Mère puis en 2006, avec une nouvelle vedette La Bonne Mère de Marseille, basée au port de la Pointe Rouge et armée par 5 marins-pompiers ;
> en 1990, il reçoit la concession du SMUR.
> Dans les années 1984/1985, le poste Mirabeau (MRB) s’est substitué au poste de La Madrague (LMG) ; il est remplacé par celui de Saumaty en 2003.
> En 1995, la 6e compagnie, celle des Chartreux (CHX) à vocation d’atelier de réparation, quitte ses locaux vétustes pour intégrer un ancien garage Renault, mitoyen du CIS de Plombières. Le tout est devenu la base Plombières, siège des ateliers de réparation, tuyaux, appareils respiratoires, magasin général incendie, habillement, infrastructures… Le centre technique Plombières occupe une surface couverte de 6 000 m2, 110 hommes et femmes y sont affectés dont 10 de garde journellement.
> Si l’état major du BMP se situe depuis 1940 dans la Caserne de Strasbourg, une unité, la plus petite de la ville, trône avec ses véhicules rouges depuis 2003 comme un symbole à côté des lieux même de l’incendie dans l’ex salle de cinéma Le Noailles, mitoyen des Variétés. Le Noailles qui a été détruit en 2000 était scindé en trois salles en 1976 et attirait une importante clientèle grâce à la programmation de films pornographiques. Certaines semaines, les films projetés au Noailles étaient en tête des entrées hebdomadaires, devant les films traditionnels !
> Depuis mai 2015, le BMPM arme 22 CISN 5 et 2 détachements. Pour une optimalisation des effectifs et des moyens, en 2008, le concept de secteurs avec leurs « casernes mères » et leurs « postes satellites » a été abandonné pour s’articuler autour de deux groupements opérationnels. Le groupement nord (caserne de Plombières et son CIS) et le groupement sud (caserne de Saint Pierre et son CIS) qui sont commandés chacun par un officier supérieur, ont repris les tâches administratives des casernes.
Les autres casernes (Endoume, Louvain et La Bigue), ainsi que les postes (Saint-Lazare, Canebière, Pointe Rouge, Luminy, Saint-Just, Saint-Menet, Château-Gombert, Saint-Antoine, La Rose, Malpassé, Saumaty, La Valbarelle et le Frioul ainsi que la caserne de Port de Bouc et le poste de La Fossette), sont tous devenus des CISN 5 et ne se consacrent plus qu’aux interventions. Les détachements de marins-pompiers se sont retirés de l’hôpital Nord en avril 2016 et l’hopital de la Timone en avril 2017 Le 14 mars 2018, la caserne de Port-de-Bouc (PDB) est renommée « SMG : Second maître Gaulier » et le poste avancé de Graveleau est renommé « OCG : officier en chef des équipages Louis Godard »
> Lire l’histoire complète du Bataillon de marins-pompiers de Marseille
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- Impasse Daniel Audry, 13013 Marseille
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- Ex Tati, Ex Souk de Nour, Normal, l’immeuble maudit de la rue de Rome
- 2A rue de Rome, 13001 Marseille
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- Hôtel Dieu, 13002 Marseille
- Confédération Générale des CIQ, depuis 1924
- 24 Bd Garibaldi, 13001 Marseille
- Ancienne école supérieure de commerce de Marseille, 1872
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- Viaduc, Pont du Vallon des Auffes, 1863
- Corniche Kennedy, 13007 Marseille
- La Borne de limite de 1660 entre Marseille et Allauch
- 2 rue des Lamberts 13013 Plan-de-Cuques
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- Allée Emmanuel Chabrier 13008 Marseille
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- Vallée de Séon, 13016 Marseille
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- Oppidum des Mayans et le Hameau Fantôme
- Chemin du Vallon Dol, 13015 Marseillle
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- 30 Chemin du Bassin, 13014 Marseille
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- Rue Hrant Dink, 13012 Marseille
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