Statue de Pythéas par Auguste Ottin
9 La Canebière, 13001 Marseille
Sur la façade du Palais de la Bourse, à gauche, se trouve une Statue de Pythéas de 1860 signée Auguste Ottin. Pythéas était un astronome grec, considéré comme l’un des plus anciens explorateurs scientifiques ayant laissé une trace dans l’Histoire. Pythéas a effectué un voyage dans les mers du nord de l’Europe vers 325 av. J.-C., mais son récit, connu dans l’Antiquité, n’a pas survécu. Il n’est maintenant partiellement révélé que par les écrits de quelques auteurs parmi lesquels Strabon, Diodore de Sicile, Pline l’Ancien et Polybe. Il est le plus ancien des auteurs de l’Antiquité que nous connaissions à avoir décrit, notamment, les phénomènes polaires, les marées ainsi que le mode de vie des populations du nord de l’Europe. Pythéas a évoqué l’île de Thulé et sa description des marées est le texte le plus ancien qui suggère la lune comme leur cause.

Le voyage de Pythéas selon une conjecture de Jean Mabire, dans Thulé, le soleil retrouvé des Hyperboréens, éd. Robert Laffont, 1978
Le voyage de Pythéas fut entrepris sans doute vers 330-320 av. J.-C. On ignore la date du périple de son compatriote, le massaliote Euthymènes, qui se serait dirigé vers l’Atlantique sud : cet explorateur aurait longé les côtes de l’Afrique, depuis les « Colonnes d’Hercule », jusqu’au fleuve Sénégal. Pythéas aurait pu être aidé dans son expédition par la cité de Massalia, alors à l’apogée de sa prospérité mais cette hypothèse n’est étayée par aucune source antique qui nous soit parvenue. L’hypothèse selon laquelle il aurait été envoyé par Alexandre le Grand pour explorer l’Océan est également plausible, puisque ce conquérant s’apprêtait à faire le tour de l’oïcoumène lorsqu’il mourut. Toutes les hypothèses sur le détail et les conditions de son voyage sont, par nécessité, des conjectures. On a pu penser, par exemple, que parti en mars, il dut rentrer en octobre ou novembre, après avoir parcouru 9 038 milles marins ; que son navire devait être une de ces galères mixtes du ive siècle av. J.-C., genre catascopiumnote, avec un bordé doublé d’un vaigrage et protégé par des préceintes pour résister aux glaces de la mer du Nord ; il est possible qu’il ait fait à la fois du cabotage et du long cours. Pythéas a pu tout aussi bien n’avoir été que passager de bateaux de commerce et de pêche. En effet, aucune source antique ne le qualifie de navigateur. Quant au but de cette expédition, la seule certitude, c’est qu’elle avait une visée scientifique. Certains historiens ont imaginé que Pythéas et Euthymènes seraient partis à la recherche de nouvelles sources de matières premières ; il est vrai que Marseille fut longtemps en rivalité commerciale avec Carthage, mais Pythéas devait surtout vouloir établir une table des latitudes et « vérifier des phénomènes que démontrait clairement la géométrie mais auxquels il semblait difficile de croire.
Parti de Massalia, Pythéas rejoignit l’Atlantique vraisemblablement après avoir franchi les colonnes d’Hercule (détroit de Gibraltar), mais certains auteurs n’écartent pas l’hypothèse d’un voyage fluvial jusqu’au débouché de la Gironde ou de la Loire.
Son voyage se poursuivit vers l’Armorique puis la Grande-Bretagne. Poussant plus au nord au large des Orcades, il atteignit une région où la nuit ne durait que deux heures. Il évoqua également l’île de Thulé, située sur le cercle arctique, ainsi qu’une zone de la mer où la navigation devient impossible, l’océan ressemblant à un « poumon marin », peut-être un mélange de glace et d’eau dans les bruines et les brumes proches de la banquise. L’association de son nom à l’ambre, notamment par Pline l’Ancien, a conduit certains auteurs à imaginer que Pythéas, à son retour, aurait également exploré la mer Baltique. Les étapes de son voyage restent largement inconnues, même si l’hypothèse d’un second voyage en mer Baltique n’est pas à écarter totalement.
Quant à l’emplacement de Thulé, il reste de nos jours sujet à débat. Il pourrait s’agir de l’Islande ou de la Norvège.
Seuls deux ouvrages de Pythéas sont connus par leur titres, l’un De l’Océan, et l’autre, Description ou Voyage autour de la Terre ou périple. On a pu penser que ces deux titres appartenaient à un seul et même ouvrage. Il n’est pas rare en effet qu’un ouvrage de l’Antiquité soit diffusé et cité par les auteurs anciens sous plusieurs titres différents, parce que parfois une seule partie de l’œuvre est éditée avec un titre propre. Ces ouvrages ne nous sont pas parvenus, peut-être ont-ils disparu dans l’un des incendies de la bibliothèque d’Alexandrie, mais plusieurs auteurs antiques nous en ont transmis des fragments épars ; ces fragments se réduisent à quelques citations dans les écrits d’auteurs antiques, parmi lesquels Timée, Ératosthène et Hipparque, à travers le géographe Strabon, principal détracteur de Pythéas qu’il accuse d’affabulation, Diodore de Sicile (qui ne cite pas Pythéas) et Pline l’Ancien. On peut aussi tirer profit de passages de Géminos, de Cléomède et de Polybe.
La relation de Pythéas abonde en observations et en indications chiffrées.
- Pythéas a accompli une exploration maritime dans l’Atlantique nord, exceptionnelle à une époque où les colonnes d’Hercule (détroit de Gibraltar) marquaient l’extrémité occidentale du monde civilisé. Les Carthaginois avaient été jusqu’alors soucieux d’assurer leur suprématie à Gadès et de se réserver les routes maritimes de l’Atlantique ; ils connaissaient et tenaient jalousement le détroit de Gibraltar, comme en témoigne Strabon ; les seuls documents qui pourraient attester d’explorations carthaginoises antérieures à celle de Pythéas sont les récits des voyages d’Hannon et d’Himilcon. Le Périple d’Hannon, roi des Carthaginois, est une fiction anachronique issue d’un manuscrit grec du ixe siècle publié en 1533, dont les invraisemblances et les incohérences sont la marque d’un récit imaginaire. Menacés par une concurrence grecque, les Carthaginois entendaient se réserver les marchés commerciaux.
- Si l’on retient l’hypothèse d’une escale à Gadès (l’actuelle Cadix), Pythéas aura pu observer à l’horizon la fameuse étoile Canope qu’Eudoxe avait pu repérer à la même place à Cnide, ce qui indiquait que Gadès et Cnide étaient situées à la même latitude.
- À Gadès, Pythéas aura pu observer le phénomène des marées océaniques, inconnu des Méditerranéens, et particulièrement sensible dans la région du détroit de Gibraltar. Pythéas signala le synchronisme des marées avec les phases de la Lune, comme en témoigne un auteur antique : « Pythéas le Massaliote explique par la lune qui devient pleine les marées montantes, et par la disparition de la lune les marées descendantes. » On ignore s’il s’agit d’une découverte de Pythéas ou s’il a acquis cette connaissance par des échanges avec les riverains. Il fut en tout cas le premier à expliquer le phénomène dans ses écrits.
- Le St Michael’s Mount pourrait être l’île d’Ictis (en) (ou Mictis).
- Selon l’itinéraire le plus généralement admis, du Cap Ortegal, Pythéas aurait traversé l’Océan et se serait dirigé vers Ouessant en Armorique. On sait qu’il a évoqué le commerce de l’étain, produit dans la région des Cornouailles — L’un des emplacements des Cassitérides — avant son transport à l’île d’Ictis (en), vraisemblablementle St Michael’s Mount en Cornouailles.
- Pythéas a livré une description géographique de la Grande-Bretagne, dont il a indiqué la forme triangulaire et dont il a estimé le périmètre à 42 500 stades (entre 7200 et 7 650 km, ordre de grandeur proche des 7 850 km mesurés).
- En s’approchant du cercle arctique, Pythéas a constaté que, conformément à la théorie, les jours duraient de plus en plus longtemps au fur et à mesure que l’on s’avançait vers le nord, et il put vraisemblablement observer le Soleil de minuit : il a en effet expressément indiqué que Thulé — que l’on assimile généralement à l’Islande, mais aussi parfois à la Norvège — se trouvait en un lieu où, au solstice d’été, le soleil ne se couche pas.
- On sait que Pythéas a évoqué la récolte d’ambre. C’est pourquoi on a pu penser qu’il avait pénétré en mer Baltique. Peut-être a-t-il atteint la région entre Vistule et Niemen.
- Pythéas s’est aussi intéressé aux peuples barbares (au sens grec ancien du terme), décrivant leur habitat, leurs us et coutumes, leur alimentation, etc. (Celtes d’Armorique, Brittons d’Albion, Calédoniens, Goths).
- Il a décrit l’environnement du cercle polaire et les phénomènes qui en découlent : un mélange, semblable au « poumon marin qui n’est ni eau ni terre » qu’il affirme avoir vu de ses yeux. Il précise qu’on ne peut ni naviguer au travers (en grec ancien : πλωτά) ni avancer dessus (πορευτά). Peut-être s’agit-il de l’aspect que présente la mer lors de la formation de la banquise, phénomène qui ne se produit que dans les régions situées immédiatement au nord de l’Islande.
- Il a déterminé avec exactitude la place du pôle céleste, qu’il a situé en « cet endroit vide avec lequel trois étoiles du Dragon forment un quadrilatère » : la constellation du Dragon longe en effet une partie de la Petite Ourse ; selon toute apparence, il s’agirait des trois étoiles de la Petite Ourse, ou encore de β de la Petite Ourse, α et κ du Dragon. Cette observation a été reprise par l’astronome Hipparque.
- Il a contribué à apporter la preuve de la sphéricité de la Terre, qui à son époque est passée du statut d’hypothèse à celui de connaissance scientifique (Aristote). Pythéas en a apporté la confirmation notamment par la mesure des durées diurnes et nocturnes : à son époque, la géométrie de la sphère en mouvement était fort avancée, comme en témoignent les travaux d’Autolycos de Pitane, son contemporain, et l’usage courant de la sphère armillaire.
- Ses mesures de latitude, faites à l’aide d’un gnomon, sont d’une précision étonnante pour l’époque. Pour la première fois en dix-neuf siècles, Pierre Gassendi a repris les mesures au xviie siècle ; vingt-trois siècles plus tard, la latitude de Marseille fut établie à 43° 18′, à peine 5′ de la valeur calculée par Pythéas, 43° 13′ (en tenant compte de l’inclinaison de l’axe de la Terre à son époque).
Certains auteurs antiques ont considéré Pythéas comme un affabulateur. C’est en particulier l’opinion de Polybe et de Strabon, pour qui il était inconcevable que des terres puissent être habitées au-delà de l’Irlande. Mais les témoignages de son périple, et surtout ses observations astronomiques, ont été pris en considération par des savants comme Ératosthène ou Hipparque. Au fil du temps, ses récits sont apparus crédibles et plus personne de nos jours ne remet son existence en doute36. Le voyage de Pythéas selon une conjecture de Jean Mabire, dans Thulé, le soleil retrouvé des Hyperboréens, éd. Robert Laffont, 1978. La venue de Pythéas en Islande demeure très hypothétique. En revanche il est probable qu’il soit allé plus loin en direction du nord. Winston Churchill a rendu hommage à Pythéas dans son ouvrage « Naissance d’une nation ». Un cratère lunaire37 porte le nom de Pythéas. On trouve une statue d’Euthymènes et de Pythéas près de l’Hôtel de Ville de Marseille.
Le sculpteur Auguste Ottin est le fils d’Auguste Denis Victoire Ottin (né en 1787 à Paris), tourneur sur cuivre et bronze, et le père de Léon-Auguste Ottin (1836-1918), artiste peintre et verrier. Reçu à l’École des beaux-arts de Paris en 1825, Ottin devient l’élève de David d’Angers qui, engagé dans le courant romantique, lui apprend une sculpture libérée de l’académisme. Il obtient, conjointement avec Jean-Marie Bonnassieux, le second grand prix de Rome en sculpture de 1836 avec le relief Socrate buvant la cigüe. Le sculpteur part alors pour cinq ans à Rome comme pensionnaire de la villa Médicis. Il expose au Salon dès 1841. Son parcours, jalonné de récompenses, lui ouvre la porte des commandes d’État et lui assure la célébrité. C
elle-ci, une fois établie, permet à sa personnalité débridée de s’épanouir en réalisant des œuvres indépendantes. Ottin a travaillé dans tous les courants de son époque, à l’aise aussi bien dans le romantisme que dans le style éclectique avec des commandes d’État, ou en recourant aux allégories. Auguste Ottin meurt le 7 décembre 1890 à la maison de retraite de la Fondation Galignani à Neuilly-sur-Seine.
PHOTOS Dominique Milherou Tourisme-Marseille.com & Le voyage de Pythéas selon une conjecture de Jean Mabire, dans Thulé, le soleil retrouvé des Hyperboréens, éd. Robert Laffont, 1978
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