Statue de Ernest Reyer par Paul Gondard
Parc Longchamp, 13004 Marseille
Créée en hommage au compositeur Ernest Reyer, cette statue fut installée en 1934 devant l’Opéra lors de son inauguration puis transférée en 1936 sur la Colline Puget. Elle est à présent sur les hauteurs du parc Longchamp. Paul Gondard montre ici Reyer méditant installé dans un fauteuil dont les montants sont ornées à droite d’un portrait féminin évoquant Salambô, sa dernière œuvre lyrique. A gauche le montant est sculpté d’un portrait masculin représentant Sigurd, œuvre de Reyer présentée lors de l’inauguration du nouvel Opéra en 1924.

Portrait féminin évoquant Salambô
Louis Étienne Ernest Rey, dit Ernest Reyer, né à Marseille le 1er décembre 1823 et mort au Lavandou le 15 janvier 1909, était un compositeur français. Son père, notaire marseillais, ne désirait pas voir son fils embrasser une carrière musicale. Il ne lui fit pourtant pas obstacle et lui permit de suivre les cours du Conservatoire de six à seize ans. Il est inscrit au lycée Thiers de Marseille au cursus de commerce nouvellement créé. En 1839, à l’âge de seize ans, Ernest partit pour l’Afrique travailler sous les ordres de son beau-frère Farrenc, chef de la comptabilité à la Trésorerie centrale du gouvernement de l’Algérie. Cet emploi ne lui convenait pas et Reyer montrait les plus parfaites indiscipline et nonchalance. On dira de lui que les papiers administratifs ne lui servirent qu’à écrire d’innombrables essais de jeunesse, romances peu originales ou morceaux de danse. Ces premiers écrits d’autodidacte authentique lui permirent de se faire une notoriété locale et les milieux algérois apprécièrent notamment une messe, restée inédite, exécutée à la cathédrale lors de l’arrivée du duc d’Aumale en 1847.
Lors des événements de 1848, il monta à Paris.

Portrait masculin représentant Sigurd
Cette période le vit introduit, à moins de trente ans, dans le milieu bohème des artistes parisiens, comme Gustave Flaubert, le chansonnier Dupont ou Théophile Gautier. Il parvint tout de même à conserver son allure toute provençale (d’aucuns diront « populaire »), continuant à fréquenter les petites gens avec lesquels il adorait jouer aux dominos tout en fumant la pipe, cette pipe dont il disait qu’il lui devait ses meilleures inspirations. Sa tante, Louise Farrenc, professeur de piano au Conservatoire et compositrice de talent, dirigea ses études, et dès 1850 il composa la musique d’une ode symphonique avec chœurs, signée Théophile Gautier, le Sélam, exécutée au théâtre italien. En 1854, il composait la musique d’un opéra en un acte, Maître Wolfram, dont le libretto était de Joseph Méry. L’œuvre fut jouée à l’Opéra-Comique. Sur cette œuvre, le maître, Hector Berlioz, avait repéré Reyer. Il déclara que la musique du Marseillais n’avait « rien de commun avec la démarche tantôt affectée, tantôt dégingandée de la muse parisienne […]. Ses mélodies ont du naturel […]. Il y a du cœur et de l’imagination là-dedans. » Peu à peu, une certaine renommée s’installait.
En 1857, Charles Monselet écrivait de lui : « Est-ce un musicien qui écrit ou un écrivain qui fait de la musique ? Je ne sais, mais je le tiens pour un garçon d’esprit, qui fera son chemin en chantant et en écrivant. » Certes, Reyer ne faisait pas (encore) l’unanimité et quelques critiques pointaient du doigt son orchestration qui n’était semble-t-il pas au niveau de son génie musical. L’année suivante, il composait un ballet, Sakountala, dont le mimodrame était une fois de plus de Théophile Gautier. Le ballet fut joué vingt-quatre fois jusqu’en 1860. En 1861, il s’attelait à un opéra-comique en trois actes et six tableaux, La Statue, dont le libretto était tiré des Mille et Une Nuits. Les paroles étaient signées Michel Carré et Jules Barbier. En moins de deux ans, La Statue totalisa une soixantaine de représentations, un chiffre impressionnant pour l’époque. L’œuvre de Reyer était enfin unanimement reconnue et la consécration vint en 1862. Le compositeur marseillais devenait chevalier de la Légion d’honneur. Cette même année, il composa Érostrate, un opéra en deux actes qui fut joué en août 1862 au théâtre de Baden-Baden, sous le regard des grandes familles d’Europe, ce qui lui valut de recevoir la distinction de l’Aigle Rouge des mains de la reine de Prusse. Peu à peu, pourtant, sa renommée commença à décliner. Le même Érostrate échoua complètement à Paris et ne put totaliser trois représentations, ce qui priva l’œuvre de sa présentation à l’Opéra.Sans doute sous le coup de la déception, et de la fatigue aussi peut-être, Reyer cessa de composer durant plus de vingt années, hormis quelques compositions sans ambition aucune. Il entra dans la presse artistique, à la Revue française, au Moniteur universel, à la Gazette musicale ou au Courrier de Paris.
Il devint membre de l’Académie des beaux-arts en remplacement de Félicien David le 11 novembre 1876.
Ce n’est qu’en janvier 1884 (il avait alors 61 ans) qu’il fit représenter son œuvre capitale à la Monnaie de Bruxelles : Sigurd, un opéra en 4 actes et 9 tableaux esquissée en 1862, son œuvre majeure, celle qui a achevé de lui donner la légende que son talent méritait. Le livret était de Camille du Locle et Alfred Blau et, en mai suivant, Sigurd était donné au Covent Garden de Londres, puis au théâtre de Lyon en janvier 1885, et enfin à l’Opéra de Paris le 5 juin de la même année. Il dut son succès tant à la magie de la musique qu’au talent incomparable de ses interprètes. À cet égard, la cantatrice Rose Caron (Rose Lucille Meunier de son vrai nom) donna un véritable souffle épique à l’œuvre dans le rôle de Brunehilde et emporta l’adhésion de tous les spectateurs. En deux ans, Sigurd obtint cinquante représentations et en aurait sans doute eu davantage sans le retour de la cantatrice à Bruxelles. La dernière grande œuvre de Reyer, Salammbô, toujours avec sa cantatrice vedette, la Caron, fut représentée quarante-six fois de mai à décembre 1892. L’œuvre était pourtant antérieure de plusieurs années, mais les mêmes résistances qui avaient retardé l’admission de Sigurd étaient reparues. Elle fut représentée d’abord à la Monnaie de Bruxelles en février 1890, puis au théâtre des Arts de Rouen le 23 novembre suivant. Son arrivée à Paris date du 16 mai 1892. Peu à peu, le déclin pointait son nez. Sur la fin du siècle, Maître Wolfram et La Statue furent repris, mais les œuvres avaient soudain une allure bien vieillotte. Reyer n’avait certes plus rien à prouver. Il faisait alors de bien brefs séjours à Paris, préférant vivre l’hiver au Lavandou (Var) et l’été à Mouthier-Haute-Pierre (Doubs), où il rencontrait Césaire Phisalix, qui mit au point le sérum contre les morsures de vipères. Il venait aussi occasionnellement à Marseille où il avait gardé de nombreux amis. Il s’éteignit le 15 janvier 1909 à son domicile du Lavandou. Il avait conservé auprès de ses pairs une réputation de grand compositeur, mais aussi de grand homme. Théophile Gautier parlait, à son sujet, de « l’amour de son art poussé jusqu’à la passion et au fanatisme, un enthousiasme pour le beau que rien ne décourageait, et la résolution immuable de ne jamais faire de concession au mauvais goût du public ». Commentaires auxquels Henry Roujon, secrétaire perpétuel de l’Académie des beaux-arts, ajoutait : « Louera-t-on jamais assez l’unité morale de sa vie, la rigueur de ses principes, la dignité de son attitude, son mépris de la réclame, et cette austérité artistique qui fut inébranlable, sans se draper jamais. » Il repose au cimetière Saint-Pierre de Marseille.
Le sculpteur du monument, Paul Gondard, entre à l’école des beaux-arts de Marseille où il est l’élève d’Émile Aldebert et de Marius Guindon. Il participe aux grandes manifestations de l’entre-deux-guerres, telle que l’Exposition coloniale de Marseille de 1922. Il entre à l’Académie de Marseille en 1950. Sa sœur, Jeanne Gondard, épouse en 1897 le sculpteur François Carli. Il est inhumé à Marseille au cimetière Saint-Pierre. Œuvres En 1926, Paul Gondard réalise le Monument aux morts de la vallée du Queyras, inscrit à l’inventaire générale des Monuments historiques. Il exécute ensuite un Monument à Edmond Rostand puis en 1934 le Monument à Ernest Reyer.
PHOTOS Dominique Milherou Tourisme-Marseille.com & Étienne Carjat
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