Maison natale du Sculpteur César, La Belle de Mai
71 rue Loubon, 13003 Marseille
C’est ici, dans le quartier de la Belle-de-Mai, que se situait la modeste maison natale du célèbre sculpteur marseillais César Baldaccini, dit César, membres des Nouveaux réalistes, mouvement né en 1960. Sa plaque hommage a aujourd’hui disparue. Il est également ancré dans l’histoire grâce à sa création du trophée en bronze de la cérémonie des césar du cinéma français, que l’on retrouve en graff sur le volet roulant de sa première demeure marseillaise. Sa ville natale est également marquée par quelques œuvres monumentales dont le Pouce et le Mémorial des rapatriés d’Algérie mais aussi au MAC (pouce, expansions, compressions, sculptures d’insectes et d’animaux…) et dans le Parc Bonneveine.

Rond point MAC Marseille
Ses parents, Omer et Leila Baldaccini, italiens d’origine toscane, tenaient un bar à Marseille, où César est né, avec sa sœur jumelle Amandine en 1921 dans le quartier populaire de la Belle-de-Mai, au no 71 de la rue Loubon. « Je suis fondamentalement un autodidacte absolu », dira-t-il. À l’époque, il dessine et bricole des carrioles pour son petit frère avec des boîtes de conserve. Néanmoins, après avoir d’abord travaillé chez son père (il aide également un voisin charcutier pour un maigre salaire après avoir quitté l’école à 12 ans), il va suivre de 1935 à 1939 les cours de l’École supérieure des beaux-arts de Marseille ; en 1937, il obtient trois prix, en gravure, en dessin et en architecture. Non mobilisable pendant la guerre (il échappe également au STO), il vit d’arnaques avant de s’installer à Paris pour être admis, en 1943, à l’École nationale supérieure des beaux-arts avec Michel Guino, Albert Féraud, Daniel David et Philippe Hiquily, comme lui dans l’atelier de Marcel Gimond.
En 1945, il retourne à Marseille pour épouser Maria Astruc, avec qui il monte un commerce (ils divorceront en 1959). Il revient en 1946 à Paris où il occupe un atelier dans un ancien bordel 21 rue de l’Échaudé, dont les chambres, à la suite de la loi Marthe Richard, avaient été attribuées à des étudiants. Il y rencontrera Émilenne Deschamps, qui deviendra par la suite une de ses égéries.

Mémorial des rapatriés d’Algérie
Devant l’impossibilité pour lui de travailler la pierre, en raison de son coût, il se tourne vers d’autres matériaux. Dès 1947, il travaille le plâtre et le fer. En 1949, il est initié à la soudure à l’arc dans une menuiserie industrielle de Trans-en-Provence et utilise le plomb en feuilles repoussées et des fils de fer soudés. En 1951, il visite Pompéi et reste marqué par les moulages des corps des habitants pris dans la lave. En 1952, il utilise des matériaux de récupération peu coûteux et réalise ses premières sculptures en ferrailles soudées : ses moyens sont alors toujours modestes. Ainsi, par manque d’argent et pour s’offrir du marbre, César va récupérer dans les décharges de ferraille les matériaux de ses premières sculptures : des tubes, des boulons, des vis, qui deviennent des insectes ou se retrouvent dans les courbes puissantes de la Vénus de Villetaneuse (1962). En 1954, il expose à la galerie Lucien Durand à Paris et obtient le prix « collabo » pour une sculpture intitulée Le Poisson réalisée à Villetaneuse, ville où il travaillera une douzaine d’années, grâce à l’aide d’un industriel local, Léon Jacques.
Il acquiert la célébrité lorsque son œuvre est achetée 100 000 francs en 1955 par l’État pour le musée national d’art moderne. La même année, il expose au Salon de mai.
L’année suivante le MNAM achète Chauve-souris de 1954 et le musée d’art moderne de la ville de Paris Le scorpion de 1955.
À partir de 1954 (Torse, MOMA), il réalise également des sculptures en métal soudé, puis en bronze, partiellement polis de femmes plantureuses (Ginette, 1958, Victoire de Villetaneuse, 1965). En 1956, il participe à la Biennale de Venise ; ensuite à la Biennale de São Paulo et à la Documenta II en 1959. En 1958, il signe un contrat avec la galerie parisienne Claude Bernard. En 1961, il se rapproche de Marino di Teana et rejoint le groupe des Nouveaux réalistes, mouvement fondé par le critique d’art Pierre Restany, comprenant notamment Arman, Jean Tinguely, Niki de Saint Phalle et Gérard Deschamps. Lorsqu’il peut s’offrir en 1957 un atelier, rue Campagne-Première à Paris, il épouse Rosine Groult-Baldaccini (rencontrée aux Beaux-Arts en 1948) avec qui il a une fille, Anna, un an plus tard.
Il se met également à fréquenter le monde de la nuit. En 1968, il créera à la Manufacture nationale de Sèvres un Cendrier en porcelaine édité en 50 exemplaires. Réalisé en porcelaine à couverte nacrée semi-mat, il représente un moule en plâtre utilisé pour la production des pièces, et a été produit à partir d’un modèle original en aluminium.
En 1971, lors d’une première au Lido, il trouve plus médiatique que lui : Salvador Dalí, le maître de l’extravagance. Il débat la même année dans Italiques avec François Truffaut, Lucien Bodard et Asher Ben-Natan. Les Compressions César assemble des tôles déformées en 1958 (Tiroir bleu). À cette occasion, il découvre chez un ferrailleur où il a l’habitude de se fournir en ferrailles pour réaliser ses sculptures soudées, une presse américaine qui compresse les carcasses de voitures pour en faciliter la manutention. La même année, il commence par aplatir une (Dauphine). À partir de fin 1959, César centre son travail sur la technique de la « compression dirigée », qui devient sa marque de fabrique : à l’aide d’une presse hydraulique, il compresse divers objets sous forme de parallélépipèdes, d’abord de petit format avec des rubans de cuivre et des tôles, puis des voitures entières. Au Salon de Mai de 1960, il expose “Trois tonnes”, une œuvre constituée de trois voitures compressées, qui fait scandale. Il doit cependant attendre que la galerie Mathias Fels présente ces œuvres transgressives en 1969 pour qu’elles soient reconnues par le monde de l’art. En 1961, Jean Lafont, ami de leur mécène commune Marie-Laure de Noailles, lui offre sa première voiture (une ZIM soviétique toute neuve, la seule en circulation en France), que César lui renvoie compressée, ayant perdu 90 % de son volume. D’autres automobiles vont aussi subir le même sort. Cet acte d’appropriation se veut un défi à la société de consommation et le rapproche des Nouveaux réalistes, dont il fait partie aux côtés de son ami Arman et auquel son nom est souvent associé. En 1986, il présente à la Fondation Cartier des compressions monumentales de Peugeot 205 Turbo 16 de Jean Todt, accidentées dans des rallyes automobiles (Les Championnes).
À la Biennale de Venise, il expose une montagne de compressions, œuvre monumentale intitulée 520 tonnes.

MAC Marseille
En 1998, sa Suite milanaise est réalisée avec une série de voitures Fiat neuves qui, une fois compressées, sont passées dans les chambres à peinture de l’usine Fiat de Turin, aux couleurs de la gamme de l’année. Il compresse aussi toutes sortes de matériaux : tissus, papiers, et même bijoux en or que les femmes du monde lui apportent et qu’il rend compressés en cube à porter autour du cou. Les Expansions En inversant l’esprit des compressions, César présente au Salon de Mai en 1967 La grande expansion orange, réalisée en polyuréthane. À partir de 1969, il met au point une méthode permettant d’assurer une meilleure conservation de ses Expansions. Celles-ci exploitent les possibilités de ce matériau en coulées lisses et dures ; l’intervention du créateur se fait soit sur la rigidité, l’épaisseur, la coloration, soit sur les coulées (superposition ou juxtaposition) soit sur la masse figée (travail de finition sous forme de nappage, de ponçage, de laquage). Il commence à travailler le cristal en fusion ou la fonte de fer et enrobe des objets dans du plastique transparent en 1971.
Dans les années 1970, il accède à une reconnaissance internationale. Désormais universellement connu, il devient un des artistes français de tout premier plan et bénéficie de très nombreuses expositions.

MAC Marseille
Son œuvre Conserve expansion – Martial Raysse, 1970-1972, est conservée au Museo Cantonale d’Arte de Lugano. Les Empreintes humaines Deux facteurs vont l’amener à se pencher sur cette problématique : tout d’abord l’invitation à participer à une exposition de groupe consacrée à La Main, de Rodin à Picasso et sa découverte de l’agrandissement pantographique. En 1965, il présente son célèbre Pouce agrandi (1,85 mètre de haut). C’est l’empreinte de son propre pouce. À l’occasion des Jeux olympiques de Séoul (1988), il crée un Pouce en bronze de 6 mètres de haut. Cette œuvre a été la plus médiatisée et reproduite. En 1967, il réalise six exemplaires du Sein, moulage en polyester de 82 × 193 × 266 cm réalisé à partir du sein droit d’une danseuse du Crazy Horse Saloon, qui se faisait appeler Victoria von Krupp. Un des exemplaires est conservé au Musée d’art de Toulon, un autre à la Fondation Gianadda. Il crée Le Poing, sculpture monumentale de 7 tonnes en fonte d’acier inoxydable polie, installée sur la place d’armes au lycée militaire de Saint-Cyr à l’été 1970. César commence dès 1949 à s’approprier la technique de la soudure à l’arc et créera plus de 300 constructions jusqu’en 1966. En 1983, il entreprend la réalisation de son Centaure en « hommage à Pablo Picasso », sculpture de 4,70 mètres de haut, achevée en 1985. La sculpture est installée au carrefour de la Croix-Rouge à Paris. En 1984, César réalise son Hommage à Eiffel , à Jouy-en-Josas, œuvre réalisée avec de fragments de la Tour Eiffel, avec la coopération de ses assistants Jean-François Duffau et Christian Debout. Et Le Flying French man, pour la ville de Hong Kong. Il est également le créateur du trophée César du cinéma qu’il créa en 1976, récompense attribuée par les professionnels du cinéma français, pour laquelle il réalise une compression en bronze.

Parc de Bonneveine
Homme à la fois simple et complexe, au franc-parler méridional, il cultive son image d’éternel artisan, de soudeur, et surtout de grand créateur. Les dernières années de sa vie ont été très fastes, César multiplie les expositions : grande rétrospective au Jeu de Paume à Paris en 1997, rétrospectives à Malmö, Milan, São Paulo, Mexico. César termine sa carrière par une série de portraits et d’autoportraits, face à face marquant avec la mort. Il partage les dix dernières années de sa vie avec Stéphanie Busuttil, qui gère aujourd’hui son œuvre et est détentrice de son droit moral. De son vivant, malgré sa célébrité, il reste néanmoins snobé par le milieu de l’art et n’est exposé que vingt ans après sa mort par le centre Pompidou, qui reconnaît dès lors son « apport majeur à l’histoire de la sculpture ». Les œuvres de César sont conservées par des musées du monde entier (Musée national d’art moderne de Paris, Tate Gallery à Londres, Museum of Modern Art de New York…). Le démantèlement d’un réseau de faussaires qui a écoulé des centaines de faux César dans des galeries d’art et chez des commissaires-priseurs, a lieu en septembre 2001.
Le procès des faux César en novembre 2009 aboutit à la condamnation de marchands, faussaires, et intermédiaires accusés d’avoir contrefaits des œuvres du sculpteur. Le principal accusé, le faussaire Éric Piedoie Le Tiec, déjà condamné pour contrefaçons, cambriolage, conduite en état d’ivresse et trafic de drogue, écope de quatre ans de prison.
PHOTOS Dominique Milherou Tourisme-Marseille.com & Google Street View & Lénaïc Mercier & Jeangagnon
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- Ex Tati, Ex Souk de Nour, Normal, l’immeuble maudit de la rue de Rome
- 2A rue de Rome, 13001 Marseille
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- 24 Bd Garibaldi, 13001 Marseille
- Ancienne école supérieure de commerce de Marseille, 1872
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- La Mystérieuse Simca P60 de La Vallée de Séon
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- Minoterie – Moulins A. Brunet et le Bassin du Merlan
- 30 Chemin du Bassin, 13014 Marseille
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