Les Saints-Anges et Petits Diables, 1894
272 Avenue de Mazargues, 13008 Marseille
L’Association Fouque a été créée le 2 octobre 1892, sous le nom de l’œuvre de l’Enfance Délaissée, par l’Abbé Jean Baptiste Fouque, avec l’aide de nombreux marseillais, pour permettre aux jeunes en difficulté, de s’insérer socialement. Les Saints-Anges est un des principaux établissements de l’association, créé en 1894…120 ans après sa création l’association poursuit activement sa mission.
La maison d’enfants « Les Saints Anges et Petits Diables » reçoit au sein de 14 unités de vie autonomes et mixtes (7 à 10 jeunes par unité) des jeunes à partir de 3 ans, jusqu’à leur adolescence, des jeunes majeurs (21 ans) et des fratries. La prise en charge individualisée de l’enfant s’appuie sur la scolarité, les activités culturelles, sportives, de loisirs et un soutien psychologique. Le maintien des liens affectifs avec les familles reste l’axe prioritaire de la prise en charge de l’enfant dans l’objectif de la restauration et le respect de l’autorité. La première œuvre de l’abbé Fouque date de 1888 ; la dernière, l’hôpital Saint-Joseph, de 1919. Il faut d’ailleurs, pour conter cette histoire, remonter un peu au-delà de 1888, date de son arrivée à la paroisse de la Trinité (La Palud), car c’est à la cathédrale, où venant d’Auriol il fut nommé vicaire en 1885 et où il resta trois ans, que commence cette aventure. La première chose que lui révèle le confessionnal où, trente-huit durant, il reviendra tous les soirs pendant deux heures en dépit des occupations, ce sont les dangers moraux. Puisque rien, ou à peu près, n’existe pour les accueillir et les préserver, il décide de créer lui-même cet accueil et trouve les aides nécessaires. Ce sera sa première œuvre personnelle : « la Sainte-Famille ». Il l’installe dans un entresol de la rue de la République, elle émigrera quatre ans plus tard au N° 23 de la rue Barbaroux où Mademoiselle Lallement lui ouvre sa propre maison d’habitation. L’œuvre de l’Enfance Délaissée
« L’abbé, lui avait dit un jour le Vicaire général Payan d’Augery, au lieu de vous occuper des jeunes filles, occupez-vous plutôt des garçons abandonnés dont on ne s’occupe guère ».

81 rue Villa Paradis
Quelques jours plus tard, c’était le jour de Noël – on trouve devant la porte de l’Abbé Eyssautier, lui aussi vicaire à la Trinité, un garçon de 6 à 7 ans, abandonné. Sa mère l’avait amené, mais le prêtre n’étant pas chez lui, était repartie en laissant là l’enfant. On ne devait jamais la revoir. Pour l’Abbé Fouque c’est un nouvel appel de la Providence. A son confrère qui ne sait que faire et cet enfant il dit sans hésiter : « Je le prends et je commence ». « Je commence quoi?… et avec quelles ressources? »…Comme toujours il n’en sait rien, mais il continue à vivre à l’enseigne de la Providence et c’est « l’œuvre de l’Enfance délaissée » qui va naître avec ce petit Joseph Crouzet qu’elle lui envoie. Il en accueille bientôt quatre autres, les loge et les nourrit comme il peut. Enfin le 2 octobre 1892, Madame De Greling met à sa disposition une maison au N° 81 de la rue Villa Paradis. Cela durera trois mois et bientôt un étage loué rue Fongate servira de dortoir complémentaire où iront coucher, chaque soir, une trentaine des soixante garçons de la Villa Paradis. A la sacristie de la Paroisse, le bon curé Chazal met bientôt à la disposition de son vicaire un petit local « le confessionnal des sourds » pour entreposer les vivres que chaque soir l’abbé Fouque portera, sac au dos, à la rue Villa Paradis.
Un des enfants disait plus tard de cette époque héroïque : « On attendait l’abbé, pour savoir si l’on mangerait aujourd’hui ».
C’est en 1894 que l’abbé Fouque installe son œuvre (qui devient œuvre des Saints Anges) à Sainte-Anne, dans une propriété que met à sa disposition la famille Dromel. C’est là qu’elle se développera sans autres ressources que l’argent que l’abbé gagne en prêchant des retraites dans les paroisses ou celui de la charité privée. Mais la charité privée a des limites et il faut prévoir l’avenir. L’année 1887 marquera un tournant capital dans la vie de cette œuvre où s’est organisé pour les aînés l’apprentissage à divers métiers et en particulier au travail agricole. C’est le moment de tenter d’y intéresser les pouvoirs publics.
Mais pour cela, il faut d’abord être légalement reconnu. L’œuvre des Saint-Anges devient la « Société anonyme d’éducation et d’aménagement de l’Enfance délaissée » ; un Conseil d’administration est constitué, présidé par Monsieur Lucien Estrine.
Entre temps l’abbé Fouque a déjà obtenu une première subvention officielle du Ministère de l’Agriculture ; mais il faut faire plus : le Président Estrine entreprend les démarches nécessaires pour obtenir du Gouvernement un décret d’Utilité Publique, et c’est en 1898, le 15 mars, que Monsieur Barthon, Ministre de l’Intérieur, signe le décret tant attendu déclarant la Maison des Saints Anges d’Utilité Publique sous le titre de « Œuvre de l’Enfance délaissée ». Cependant derrière cette façade officielle et rassurante, et malgré le dévouement des aides bénévoles qui se tuent à la tâche, l’Œuvre ne peut continuer à vivre et à se développer sans une Direction plus solidement structurée et assurant mieux son avenir. L’abbé Fouque, pour la « Sainte Famille » avait fait appel aux Sœurs de Saint-Vincent de Paul qu’il va solliciter. Mais pour cela il faut l’autorisation de l’évêque. L’autorisation fut donnée, et les sœurs arrivent le 10 juillet 1899. Elles trouvèrent à Sainte-Anne soixante-dix enfants ; ils devaient être cent-vingt en 1902 et deux-cent-trente, vingt ans plus tard. L’Œuvre des Saints-Anges se développe et les années passent…
Nous sommes en 1913. Une décision grave et urgente s’impose à l’abbé Fouque. Comme il le dira lui-même un jour, au cours d’une messe dans la chapelle de l’œuvre : « On dit qu’il suffit d’un tout petit grain de sable pour arrêter le mouvement d’une montre ; ici, pour enrayer la bonne marche de la maison, ce n’est pas un grain de sable qui se trouve, c’est un pavé, oui un pavé ! Allons, il faut enlever çà ».
Une fois de plus, n’écoutant que son bon cœur, l’abbé a été imprudent. La loi du 22 juillet 1912 sur les tribunaux d’enfants vient d’établir le régime de la « liberté surveillée » pour les délinquants mineurs. Alors l’abbé Fouque n’a pas hésité. Il est allé offrir au Préfet à qui incombe la tâche de trouver des maisons d’accueil pour ces jeunes délinquants, sa Maison de Sainte-Anne. On dit, raconte l’abbé Ganay, que devant ce prêtre qui venait réclamer pour lui les enfants coupables, les employés de la préfecture se levèrent pas un mouvement spontané. Une section nouvelle fut créée aux Saints-Anges. Mais il devient très vite évident qu’il faut pour ces nouveaux venus un autre cadre de vie et d’autres méthodes d’éducation. Alors puisqu’on est engagé et que l’on ne peut plus reculer – c’est un mot que l’abbé Fouque ne connait pas – il faut créer autre chose ; il faut qu’au plus tôt la nouvelle section aille s’installer ailleurs. Mais où?… « Ma campagne, je vous la donnerai », avait dit plusieurs fois à l’abbé Fouque Madame Contant. A défaut de ressources l’abbé avait bonne mémoire. C’était le moment ou jamais de rappeler à la bonne dame ses charitables intentions. Elle hésite, tergiverse, puis finit par dire : « Eh, bien! C’est entendu, je vous la donne ». Et c’est ainsi que naquit, le 27 novembre 1913, à Saint Tronc, dans une propriété de dix hectares, l’« Œuvre de relèvement de l’Enfance coupable ». « Pour y être admis, dira l’abbé Fouque, il faut un certificat de mauvaise conduite ».
L’Œuvre fut confié aux Prêtres de « Saint-Pierre-es-Liens », congrégation fondée par un autre prêtre marseillais, l’abbé Fissiaux. Plus tard, un jeune passé par cette œuvre écrira au Père qui s’est occupé de lui : « Si vous ne vous étiez pas chargé du fardeau encombrant que j’étais, où serai-je aujourd’hui? Que Dieu vous donne longue vie afin que vous puissiez repêcher beaucoup de pauvres enfants semblables à moi ». Tandis que se développaient les Maisons des Saints-Anges et de Saint Tronc, une autre Maison d’accueil d’enfants périclitait, puis dut définitivement fermer ses portes en 1921. C’était la Maison ouverte dès 1869 à Montfavet par un prêtre ardéchois, l’abbé Grimaud. On y recevait les enfants anormaux. L’Œuvre des Saints-Anges en recevait aussi, mais le régime spécial qu’ils réclamaient, rendait très difficile leur cohabitation avec les autres pensionnaires. Dès qu’il sut qu’à Montfavet, le Château Saint-Ange » fermait ses portes, l’abbé Fouque y vit l’occasion, une fois de plus, que lui offrait la Providence, pour achever l’œuvre commencée. A sa demande, le Conseil d’administration des Saints-Anges s’occupa de l’affaire et une nouvelle aventure commença. On acheta le domaine de Montfavet pour cent-mille francs, on y fit les réparations nécessaires et Madame Prat qui avait déjà dirigé la Maison de Sainte-Anne, avant l’arrivée des religieuses, alla diriger Montfavet où elle resta jusqu’à sa mort.
Dès l’ouverture on y reçut quatre-vingt enfants, puis bientôt cent-dix ; et ce fut le processus habituel des événements auxquels l’abbé faisait face avec l’énergie tenace que lui donnait sa foi en la Providence.
Avant l’ouverture de la Maison, Madame Prat avait dit à l’abbé Fouque : « Et qui donc mettrez-vous là ? Qui donc consentira à s’occuper des ces petits malheureux ? – « Mais vous-même, ma fille », avait répondu l’abbé. Et elle y était allée. Cependant cela ne pouvait être que provisoire. Très vire l’abbé Fouque frappa à la porte des Communautés religieuses. Seize fois on lui répondit non. La dix-septième fois ce fut enfin le oui des Sœurs de la Présentation de Tours, ses premières collaboratrices pour l’Œuvre de la Sainte-Famille. Le 1er décembre 1926 l’abbé Fouque célébra sa dernière messe dans la chapelle de sa chère école, aujourd’hui « Cours Saint Thomas d’Aquin ». Il put à peine l’achever. Il mourut le 5 décembre dans son cher Hôpital Saint-Joseph.
Le décès de l’abbé FOUQUE aurait dû porter un coup très rude à ses œuvres. En fait, il n’en fût rein, car, les personnes, les congrégations et les structures répondant aux besoins réels de ses œuvres.En 2011 L’Association adopte un nouveau logo, et prend le nom d’Association Fouque. En 2012 l’association fête son 120ème anniversaire.
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- 30 Chemin du Bassin, 13014 Marseille
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