21 Bd Longchamp, Henri-Jacques Espérandieu & le Comité du Vieux-Marseille
21 Bd Longchamp, 13001 Marseille
Dans ce très bel immeuble du 19ème siècle, richement sculpté et ravalé en 2021, a vécu une figure de l’histoire marseillaise, Henri-Jacques Espérandieu, l’architecte du Palais Longchamp tout proche, du Palais des Arts, de la Cathédrale de la Major, de la Vierge dorée et bien sûr de Notre-Dame de la Garde, alors qu’il était de confession protestante ! Ce n’est alors peut-être pas un hasard si le Comité du Vieux-Marseille y a établi son siège depuis 1995…l’association fondée en 1911 a pour but la défense et l’illustration du patrimoine de Marseille et de son terroir. Découvrez l’histoire du Comité après celle du célèbre architecte nîmois.
Henri-Jacques Espérandieu vit le jour à Nîmes le 22 février 1829 avant de s’éteindre dans la Cité phocéenne le 11 novembre 1874. L’architecte a fait toute sa carrière à Marseille mais c’est dans sa ville de naissance du Gard que repose sa dépouille.
Henri Espérandieu est né dans une famille de religion protestante de milieu modeste. Il est d’abord placé à l’école mutuelle protestante où il se fait remarquer par son ardeur au travail. Son père obtient en 1840 une bourse pour qu’il entre au collège royal de Nîmes où il manifeste son goût pour le dessin et les mathématiques. Il observe les travaux de construction de l’église Saint-Paul à Nîmes située à proximité de la maison paternelle, ce qui déclenche sa vocation : il sera architecte.
Les travaux de construction de cette église sont effectués sous la direction de Charles-Auguste Questel, membre de l’Institut et architecte du palais de Versailles. Son père arrive à prendre contact avec Questel qui s’engage à faire rentrer le jeune Espérandieu dans un cabinet d’architecture parisien.
Le 23 octobre 1845, il quitte Nîmes pour se rendre à Paris en compagnie de son ami Ernest Roussel. Il loge chez son oncle, maître d’hôtel à Paris, et entre en octobre 1845 dans l’atelier de Léon Vaudoyer. Ce contact avec l’atelier est pour lui des plus heureux ; il écrira : « C’est un vrai plaisir de travailler dans ces ateliers… où le plus fort vient en aide au plus faible. »
Le 16 décembre 1846, il est reçu premier à l’école des Beaux-arts à Paris. Il réalise des études rémunérées pour alléger l’effort financier de son père. Il fait les projets d’une gare, d’un pont suspendu, d’une maison de campagne, etc. À partir de 1850, Questel le fait entrer dans son agence et l’associe à la mise au net des dessins définitifs pour l’église Saint-Paul de Nîmes. Questel, chargé de l’entretien du domaine de Versailles et des modifications à apporter au château, l’associe aux travaux et au suivi des chantiers. À compter de mai 1852, il partage son temps entre les ateliers de Questel et de Vaudoyer.
Ce dernier est chargé de la construction de la Cathédrale de la Major à Marseille dont la première pierre est posée le 26 septembre 1852.
Il propose à Espérandieu d’être son représentant sur place. La nomination officielle d’Espérandieu comme inspecteur des travaux de la Cathédrale ne sera faite que le 22 mai 1854 : c’est le début de sa brillante carrière d’architecte à Marseille où il s’installe définitivement en 1855.
À noter que sa ville natale ne lui offrira jamais l’opportunité de réaliser quelque édifice ; son très intéressant projet pour l’église Saint-Baudile de Nîmes sera malheureusement écarté par un jury (catholique) dont on peut fortement douter de l’objectivité…
Palais Longchamp
Henri Espérandieu est le concepteur et le réalisateur du palais Longchamp à la fois château d’eau où arrive les eaux du canal de Marseille, musée des Beaux-Arts et muséum d’histoire naturelle. Un premier projet est réalisé par Jean-Charles Danjoy qui a reçu la commande du château Pastré. Au début de 1859, le maire Jean-François Honnorat demande au sculpteur Frédéric Auguste Bartholdi qui vient de remporter un concours pour une fontaine à Bordeaux, de faire un projet ; quatre propositions seront faites, mais aucune ne sera retenue. Après avoir pensé à faire appel à Pascal Coste, le maire Onfroy s’adresse en août 1861 au jeune architecte Henri Espérandieu qui réalisera son œuvre majeure. L’éviction de Bartholdi entraîne de violentes polémiques ; celui-ci met en œuvre toutes les relations dont il disposait avec la presse parisienne pour se faire reconnaître la paternité du projet de ce monument, un des chefs-d’œuvre de l’architecture du xixe siècle. Bien que sa cause fût défendue par des maîtres du barreau (Raymond Poincaré), Bartholdi fut débouté par toutes les juridictions ; l’avocat d’Espérandieu était Ludovic Legré.
La basilique Notre-Dame-de-la-Garde
La Bonne Mère
La construction de la basilique Notre-Dame de la Garde dure 21 ans et se trouve encore inachevée à la mort de l’architecte. Cette construction qui devait au départ n’être qu’un agrandissement de la chapelle médiévale se transforma, à la demande du père Bernard, aumônier et administrateur du sanctuaire, en la création d’un nouveau sanctuaire. Le 30 décembre 1852, le conseil d’administration, présidé par l’évêque Eugène de Mazenod, approuve le projet « romano byzantin » présenté par l’atelier Vaudoyer. Les plans étaient en fait élaborés par Espérandieu et Léon Vaudoyer avait simplement servi de prête-nom. La raison est vraisemblablement que Vaudoyer redoutait que l’on reproche à son élève et collaborateur son jeune âge, son manque de notoriété, mais aussi et surtout sa religion protestante. Léon Vaudoyer confirmera dans une lettre : « Je suis entièrement étranger à la conception comme à l’exécution de ce monument dont Espérandieu est le seul et véritable auteur ».
Cathédrale de la Major
Henri Espérandieu est le directeur des travaux de construction de la Cathédrale de la Major. À la mort de l’architecte Vaudoyer le 9 février 1872 il est chargé de la poursuite des travaux, mais ne survivra que deux ans à son maître.
La construction du palais des Arts est décidée par délibération du conseil municipal du 7 mars 1859. L’auteur du projet est Espérandieu qui aura pour conducteur des travaux Gaudensi Allar, frère aîné du sculpteur André-Joseph Allar.
La vierge dorée
Le monument de la Vierge dorée a été élevé pour célébrer le dogme de l’immaculée conception. Espérandieu a dressé les plans de ce monument qui a été placé à l’extrémité du boulevard d’Athènes puis déplacé à l’angle de la rue des héros et du boulevard Voltaire pour faire place à la gare Saint-Charles et à son escalier monumental.
En 1911, dans la mouvance du félibrige, un groupe de Marseillais crée le Comité du Vieux-Marseille, dans le but d’ouvrir un « musée marseillais » sur la vie et les traditions provençales. Le soutien des maires de Marseille et des grandes familles de la ville incite à de nombreux dons, dont celui le l’association « Lou Cremascle » (la crémaillère) qui lègue à l’association une collection d’objets rares et anciens autour de la cuisine de pêcheurs.
L’association est hébergée jusqu’en 1939, au « pavillon du musée » du parc Chanot où les collections sont exposées. Très rapidement, le musée devient le second de France, après le musée Arlaten pour l’intérêt de ses collections ethnographiques. En 1924, l’association est reconnue d’utilité publique.
Pendant la guerre 1939-1945, les collections sont mises à l’abri, évitant ainsi la destruction lors des bombardements de la ville. Les locaux du musée sont occupés par les armées allemande, américaine puis française. En 1947, le musée peut exposer à nouveau ses collections. En 1949, l’association «Art et Charité» fait don de la Maison Diamantée au Comité du Vieux-Marseille. Toutefois, des difficultés de gestion amène le Comité à céder, en 1962 et par bail emphytéotique de 30 ans, l’immeuble, les collections et la bibliothèque à la ville de Marseille qui y installe les collections en 1967 (Musée du Vieux Marseille).
À partir de 1970, un nouveau conseil d’administration, sous l’impulsion d’Adrien Blés, réoriente ses activités vers la sauvegarde du patrimoine, des visites guidées de la ville, des conférences dans le but de promouvoir Marseille. Depuis 1995, le Comité est installé au 21, boulevard Longchamp et de façon éphémère au Centre Bourse lors du Carré des Ecrivains, événement culturel annuel créé par l’association et dans un nouvel espace dédié pour des expositions.
PHOTOS Archives non créditées & Google Street View & Dominique Milherou Tourisme-Marseille.com
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