
Au 1 de la place aux Huiles, caché au au 3ème étage du Pub The Queen Victoria, entre 2 fenêtres, se trouve un cadran solaire circulaire gravé sur pierre daté de 1809…il semblerait que le dernier ravalement de façade, après 2011, ai malheureusement eu raison du décor du cadran, de son étoile et ses lignes chiffrées dans un bandeau arqué…

Photo © Michel Lalos en 2011
Ils sont ainsi encore quelques-uns à Marseille, silencieux et immobiles à tenter de nous indiquer encore le temps solaire par le seul déplacement d’une ombre. On trouve en un plutôt surprenant au 117 rue Terrusse. D’autres ce cachent au sein de l’Observatoire astronomique du Palais Longchamp avec notamment cette inscription “On peut jalonner la marche du temps mais… pas l’arrêter“. Un autre, plus récent se niche Boulevard Garoutte dans le Quartier Saint-Barnabé, réalisé en 1987 par Jean Pakhomoff avec sa devise en grec “H TEXNH MAKPH ” ” L’art est long “. Plus insolite un cadran surmonte la caveau d’une famille au cimetière Saint Pierre, ou encore dans la calanque de Morgiou avec sa devise “Cueille la journée“.
D’autres cadrans solaires marseillais sont à découvrir sur le site de Michel Lalos.
